Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ ForĂȘt InterditeEvanSerpentard Re Rendez-vous au fond de la forĂȘtEvan, le Mer 23 AoĂ» - 1424 Le vent tournait. Les feuilles de la vie pouvaient s'Ă©chouer en quelques secondes. Un acquis pouvait voler en Ă©clats. Un principe en lambeaux. Je voyais celle qui Ă©tait mon Ă©lĂšve souffrir sous mon sortilĂšge, et j'Ă©tais passĂ© de rĂ©ticent Ă cette idĂ©e, Ă ne pas esquisser le moindre remords de la voir ainsi, livrĂ©e Ă la Ă©tait faiblesse, une vulgaire plume laissĂ©e Ă un tourbillon qu'elle ne pouvait que subir. Je voyais ses spasmes, entendais l'Ă©cho de ses larmes, qui avait suivi celui plus tĂŽt de ses cris, mais j'Ă©tais devenu le bourreau qu'elle avait voulu que je sois. Pas mĂȘme les empreintes de sang qu'elle laissait ne m'alertĂšrent. Quand je stoppais mon sort, je restais un observateur muet de ce spectacle que j'avais créé. Je l'avais brisĂ©e pour tenter de la rendre plus forte. Je la voyais, lĂ , Ă essayer de se redresser, Ă tomber, mais je ne bougeais pas. C'Ă©tait pour son bien. La souffrance par la souffrance. Elle l'avait voulue. AprĂšs un instant oĂč je l'avais regardĂ© peiner Ă essayer de retrouver ses esprits, sous les lambeaux de douleurs qu'elle Ă©tait, je lui tendais une main pour l'aider Ă se relever, qu'elle s'empara de la sienne ensanglantĂ©e. Voyant cela, elle se recula, comme si elle ne voulait pas me souiller de son sang. Que j'avais fait naĂźtre Ă ma s'excuse puis me dit qu'elle doit le faire seule. Je la voyais tremblante, marquĂ©e par la souffrance qu'elle avait endurĂ©e, peiner, Ă se relever. De pas chancelants, elle se rattrapa Ă un arbre proche qui accueillit son sang en plus de sa fragilitĂ©. J'observais celle qui avait Ă©tĂ© mon Ă©lĂšve, affaiblie, meurtrie, Ă tel point que je me demandais si ce qui venait de se passer n'avais pas tout changĂ©. Si elle n'Ă©tait pas devenue une victime et moi pour elle un danger, voir un inconnu. Je lui avais offert la douleur, sans aucune garantie que je serais en sĂ©curitĂ© si elle venait Ă ĂȘtre interrogĂ©e. Et mon regard se perdait sur sa silhouette, sur son sang, sans qu'aucun mot ne me vienne. Qu'y avait-il Ă dire ? J'Ă©tais un mage noir, elle savait Ă quoi s'en tenir en me demandant cela. C'est la raison que j'avais maintenant. - La douleur forge la vie...J'allais ramasser sa baguette qui trainait toujours au sol oĂč je l'avais laissĂ©e. Je ne pouvais la laisser regagner le chĂąteau dans cet Ă©tat. Ce qui venait de se passer devait rester entre elle et moi. Et son Ă©tat ne devait alerter personne. Alors je lui envoyais deux sortilĂšges curatifs, un Curo As Velnus suivi d'un Episkey, pour stopper le sang et la remettre Ă peu prĂšs dans un Ă©tat convenable qui ne trahirait pas forcĂ©ment ce qu'elle avait subi. Je la regardais reprendre son souffle, un regard indiffĂ©rent sur le visage. Elle m'en voudrait certainement, mais elle l'avait dit, c'Ă©tait une nĂ©cessitĂ©. Je lui tendais sa baguette, sans un sourire pour celle que j'avais entrainĂ© vers la magie Tu dois retourner au chĂąteau... Tu dois te reposer de tout ça...Je n'Ă©tais pas dĂ©solĂ©. Je n'avais pas mal pour elle. Le fond de mon Ăąme ancrĂ©e Ă une colĂšre Ă©trange, Ă cette envie que de protĂ©ger mon Ordre serait toujours plus important que quiconque. Et que peu importait que j'aie Ă©tĂ© son mentor, cette vĂ©ritĂ© prĂ©vaudrait toujours. - La vĂ©ritĂ© forge la douleur... murmurais-je pour moi-mĂȘme, convaincu maintenant que j'avais fait le bon choix. Et j'ouvrais la marche pour repartir vers le chĂąteau dans les ombres de la forĂȘt, la laissant se dĂ©brouiller, et tant pis si ses jambes ne pouvaient la porter. Elle Ă©tait seule. Jacob G. KenwaySerdaigle RPJacob G. Kenway, le Jeu 5 Oct - 1802 Dialectique fĂ©raleft. CiarĂĄn A. Merrow Les notes du piano me parviennent comme une esquisse de flamand rose dans les oreilles d'un orang-outan. â Off Screen â Voix française, accent anglais. Ton formel. Le calme dans la nuit est installĂ©e depuis trĂšs longtemps dĂ©jĂ , je n'ai pas d'idĂ©e d'oĂč je suis. Je sais simplement que je me trouve au beau milieu de la forĂȘt, perdu entre les cimes et les lucioles, le cĆur vulnĂ©rable au vent et Ă la folie d'une bĂȘte dĂ©chaĂźnĂ©e. Oui, la lune se tient haute ce soir et elle m'observe. Elle m'observe avec un grand sourire car elle sait que j'ai souffert le pris de mon Ă©veil. Awakening. Pourquoi ne suis-je pas chez moi ? Pourquoi ne suis-je pas dans ma forteresse ? Pourquoi ne suis-je pas sur mon trĂŽne dans mon enclos royal fait de marbre et de deuil ? Je ne sais pas. Ce n'est pas la vraie vie. Ce n'est qu'un rĂȘve. Je sais juste que ce qu'il se passe en ce moment câest ce que j'ai de plus honnĂȘte et pur Ă nous offrir. Mes pattes frottent le sol; j'accours. Je me trouve loin de chez moi et j'ai la gueule ensanglantĂ©e. Frustration. Mon cĆur bat Ă tout rompre et pas mĂȘme la main glacĂ©e de ma maĂźtresse cĂ©leste agrippĂ©e Ă lui, est capable de lâapaiser. Cours. Fuis. Pourchasse. A sens inverse, je poursuis une ombre que je ne saurai rattraper. La gamine qui vient de se faire mordre ne devait pas ĂȘtre lĂ , et je mâĂ©tais dĂ©jĂ nourri. Mais la lycanthropie vient avec le luxe d'un regret qui ne prend effet aprĂšs plusieurs heures. Comme un soir de beuverie, comme une futilitĂ© qui a pu nous faire ne veut rien dire. constate que mes muscles me permettent de bondir bien plus loin, d'avancer bien plus vite. Je me sens plus prĂ©sent et plus vivant. Je stoppe. Un arbre, les traces d'une crĂ©ature que je ne connais pas. Un nouveau diner ? Un compagnon innĂ© ? Cours, poursuis. Mes babines sont retroussĂ©es, ma langue se balance Ă l'air et je laisse mon odorat me guider. Si mes yeux distinguent plus facilement les ombres et les contrastes mon odorat est poussĂ© et me permet de voir Ă trois cent soixante degrĂ©. Mais ça n'est rien comparĂ© Ă ce que je goĂ»te et dĂ©guste. Mon odorat a rendu mes yeux curieux ; la vue de ce monstre entre deux arbres et cinq racines font saliver mes babines. Mes dents brĂ»lent d'un besoin de voir. Elles veulent voir de quoi sa chair est faite, si elle est douce et chaude, froide et sĂšche, fade et insipide, mes dents ont faim de savoir. Et bien, apprenez mes chĂšres dents et goĂ»tez car voilĂ venu l'heure de souper. â Slow motion âLes pupilles brillent d'un Ă©clat de fureur. Les pattes avant du lycanthrope sont bien trop humaines comparĂ©es Ă celle de n'importe quel autre loup-garou. L'appuie qu'il a pris sur ses jambes lui permettent de bondir haut et loin. Ballet morbide. CiarĂĄn A. MerrowSerdaigle Re Rendez-vous au fond de la forĂȘtCiarĂĄn A. Merrow, le Dim 8 Oct - 1655 J'ai toujours prĂ©fĂ©rĂ© vivre le soir. Au moment oĂč le ciel perd son bleu naturel. OĂč les rues se vident, et les coeurs aussi. Quand la nuit se fait profonde, douce et sombre Ă la fois. Ătre Ă©veillĂ©e quand tous les autres corps alentours sont endormis me donne toujours le sentiment d'ĂȘtre plus vivante que jamais. Et parfois mĂȘme, la lune se joint Ă moi et caresse les rideaux de ma chambre au rythme lent des notes de piano que jâimagine. L'astre Ă©claire les visages paisibles, veille au grain sur ces organes internes, les observe silencieusement se libĂ©rer de toute douleur. Les notes de piano s'intensifient. Lâespace dâune nuit, on se sentirait presque invincible. If I told you what I was,Would you turn your back on me?Parfois, mĂȘme la douceur de la nuit Ă©choue Ă calmer. Ce soir-lĂ Ă©tait donc lâun de ces soirs oĂč rien nâallait. Un de ces soirs oĂč l'inconscient sait pertinemment que seul le sommeil pourrait calmer, portant dans ses bras lâaube dâun jour nouveau. Lâun de ces soirs oĂč, pourtant, il refusait de se montrer. Mes membres humains ne cessaient de se mouvoir dans un linceul pĂąle, et mes yeux refusaient de se fermer, bien trop troublĂ©s par le bruit de mon coeur dâhumeur tapageur. Je me sentais opprimĂ©e. EsseulĂ©e. DĂ©sordonnĂ©e. Ever since I could remember,Everything inside of me,Just wanted to fit moi, la symphonie de mes sentiments se faisait grave, incessante. Il fallait que je fasse quelque chose pour mâĂ©puiser, pour Ă©reinter le concerto de mon existence. Il fallait que je sorte, lĂ oĂč mĂȘme la lune ne pourrait me retrouver. Dans la forĂȘt interdite, mĂȘme son courage nâosait pas sâaventurer. Les arbres Ă©taient trop rĂ©ticents Ă laisser ses rayons passer, prĂ©fĂ©rant garder pour eux les secrets quâils observaient, prohibĂ©s. LâobscuritĂ© rĂ©gnait en maĂźtre dans la sylve. Et justement, jâĂ©tais dâhumeur sinistre ce soir. Ă lâintĂ©rieur, comme Ă lâextĂ©rieur, un grand voile noir flottait dans le souffle de la faible brise des tĂ©nĂšbres. Jâavais failli tuer une Ă©lĂšve, aujourdâhui. Jâavais contenu de toutes mes forces le monstre qui sommeillait en moi. A monster. A monster, I've turned into a monster. And it keeps getting ce soir dans ce perchis dense, je laissais mes ailes fragiles et abimĂ©es chanter sous ma peau, aux abords de ma colonne vertĂ©brale, dans le haut de mon dos. Un hurlement terrifiant sâĂ©chappa de ma gorge, tant la douleur Ă©tait grande. Tant le soulagement dâenfin laisser parler celle que jâĂ©tais vraiment Ă©tait immense. Ma peau pourrissait Ă mesure que les secondes passaient. Chacune des parcelles de mon enveloppe se couvrait dâĂ©cailles visqueuses, faisant disparaĂźtre cette mascarade sans aucun dĂ©faut que je portais quotidiennement comme un fardeau. Entre mes doigts, un supplĂ©ment de peau apparaissait, reliant chacune de mes phalanges un peu plus prĂšs de sa voisine. Et ma bouche, dâhabitude si pulpeuse et rose, sâaffaça pour laisser place Ă un bec crochu, verdĂątre et pointu, dans une mĂ©lodie taciturne. Sous la paume de mes mains, douloureusement recourbĂ©es, aux ongles longs et Ă©pais, je sentais un feu puissant sâembraser. Je ne me sentais plus humaine. Je pouvais finalement laisser parler ce que je rĂ©primais au quotidien. La souffrance nâĂ©tait plus. JâĂ©tais enfin moi. And if I seem dangerous,Would you be scared?Mon ouĂŻe est plus sensible. Autour de moi, des centaines de crĂ©atures de tous horizons se mettent Ă crier leur dĂ©tresse. Il y a aussi ce rythme singulier qui se rapproche. Boum, boum. Des pas sur le sol dur et terreux de la forĂȘt, que les arbres se donnent tant de mal Ă cacher. Cet humus qui ne voit jamais le soleil, humide et puant. Boum, boum. Les feuilles volent Ă son passage. Les notes de piano deviennent sourdes et muettes. Boum, boum. Les violons prennent le relai, dans un effort grave et sonore. Boum, boum. Ce ne sont pas des pas qui se rapprochent. Boum, taking a stand to escape what's inside me retourne. Je ne vois plus que des canines ensanglantĂ©es qui crĂšvent dâenvie de trancher mon visage dĂ©formĂ© par la haine et la colĂšre. Des pattes humaines et salies qui voudraient dĂ©capiter ma tĂȘte, tout ce qui me permet dâencore penser. Do I have to run and hide?Le monstre en moi ne peut pas sâen empĂȘcher. Je ne suis pas sur la dĂ©fensive. Je nâai pas peur. Que pourrait-il mâarriver? Je suis moi-mĂȘme. Dans mon Ă©tat le plus brut. Je nâai pas Ă me dĂ©fendre. Je dois lâattaquer, Ă lâimage de ces Hommes qui me tuent un peu plus jour aprĂšs jour, me croyant joyau quand je ne suis que pierre. Me pensant femme quand je ne suis que gardienne dâĂ©pave. Mâimaginant belle quand je ne suis que laideur. Hurlement dans la nuit. I never said that I want thisThis burden came to meAnd it's made its home insideâDâun geste gracieux et rapide, les serres brulantes et Ă©paisses de CiarĂĄn se libĂšrent du brasier qui les consume. La boule de feu jaillissant d'elle Ă©blouit les troncs alentours et crĂ©pite dans le silence de plomb. Danse putride. Madilyn NebuloPoufsouffle Re Rendez-vous au fond de la forĂȘtMadilyn Nebulo, le Dim 28 Jan - 1907 pv jaceUne petite balade nocturne. Ce soir tu t'es Ă©vadĂ© de ton dortoir. Ouais. Encore. Mais cette nuit c'est plus les cauchemars, pour une fois. Une sensation d'Ă©touffement, envie d'aventure, t'as fui. Et t'as choisi la forĂȘt. Tu connais pas bien, pis y a cette espĂšce d'appel qu'elle te lance, fascinante, t'as besoin de cette atmosphĂšre d'interdit qu'elle t'offre. Du danger. De la solitude. Et la nature, sinistre de nuit. Parfait. Ce soir y a pas beaucoup de lumiĂšre, mĂȘme pas du tout. Les Ă©toiles sont floues, et la lune capricieuse se faufile derriĂšre les nĂ©bulositĂ©s nuageuses. Elle joue avec toi, de toute façon ce soir tu vas jouer. Aventurer. Essayer. Transgresser. T' devrais sĂ»rement avoir peur, mais non, bien sĂ»r. Toutes les crĂ©atures qui grouillent lĂ -dedans, tu les attends ! Tu es venue les chercher !Tu marches lentement, cherchant ton chemin dans l'obscuritĂ© totale. Les feuilles mortes craquent. Le vent murmure. Le froid te pique un peu. Mais c'est pas grave. Tu marches. Ton instinct te guide, c'est trĂšs cĂ©rĂ©monial, cette progression dans le silence, mais l'adrĂ©naline fait le puisUn cliquetisMĂ©caniquePerçant le doux silence nocturneUn bruit qui ressembleA la mortTu te retournes lentement. Une ombre, pattes graciles et velues, aux huit yeux brillants. Et ce cliquetis. La panique s'empare de toi. Au dĂ©but, tu restes figĂ©e, incapable de bouger, d'Ă©mettre le moindre son, de rĂ©agir, de fuir. Tes pensĂ©es sont paralysĂ©es, t'es plus qu'une coquille, une coquille remplie, pleine de puis tu cries. Un cri primal, cri de dĂ©tresse, humain, chargĂ© de cette vĂ©ritable Ă©pouvante infinie qui te saisit. C'est le cri du lion, du nouveau-nĂ©. Les larmes se dĂ©versent en torrents sur tes joues. Et cette chose qui s'avance lentement vers toi, comme pour mieux se dĂ©lecter de ta panique intense. Tu hurles et tu pleures, tu meurs et tu jambes se dĂ©robent sous toi, et tu tombes Ă terre, sans parvenir Ă te relever. Ton esprit est pĂ©trifiĂ©. Tu n'as plus aucune autre arme que tes mains, risiblement brandies devant toi comme en une derniĂšre supplique. Tu hoquettes, tousses et voulais juste un peu d'aventure... InvitĂ© Re Rendez-vous au fond de la forĂȘtInvitĂ©, le Dim 28 Jan - 1940 Parce que la nuit est sombre et pleine de avec LA sortie une nuit au clair de Lune comme Ă la mauvaise habitude que j'ai prise durant ses cinq derniĂšres annĂ©es, ce soir lĂ j'avais fait un petit dĂ©tour dans les cuisines pour rĂ©cupĂ©rer une pomme avant de sortir du chĂąteau et me posĂ© contre un arbre. Malheureusement je ne pouvais profiter pleinement du ciel Ă©toilĂ© et de l'astre glacial dans l'infinitĂ© de la nuit, les nuages... Je soupir un instant c'est bien dommage j'avais besoin de respirer ce soir, je m'Ă©tais relevĂ© pour commencer mon voyage retour jusque dans les cachots avant d'entendre un cri. Un long cri qui me fit frisonner l'Ă©chine, mon corps dĂ©cide de bouger de lui-mĂȘme sortant ma baguette de ma poche et lançant un Lumos je cours en direction de la source du bruit, la forĂȘt est vaste et connaĂźtre la position exacte du cri s'avĂšre compliquĂ©...Un autre cri beaucoup plus proche ! Je suis dans la bonne direction je reprends alors ma course et arrive juste Ă temps visiblement ! Une acromentule Ă©tait trĂšs proche d'une jeune fille que je ne connaissais pas, mais grĂące Ă mon Lumos j'ai rĂ©ussi Ă dĂ©tourner l'attention de l'araignĂ©e. Vachement effrayante comme crĂ©ature cependant je connais le sortilĂšge qui peut m'en dĂ©barrasser, je m'approche alors du monstre baguette pointĂ© en sa ExumaĂŻ !Un rayon de lumiĂšre bleutĂ©e se dĂ©gage de ma baguette avant de frapper de plein fouet l'acromentule qui se fait propulser quelques mĂštres plus loin. Le sortilĂšge ne l'a pas tuĂ© pour autant je m'apprĂȘte alors Ă lancer une seconde salve avant de la voir dĂ©talĂ©e dans un bruit des plus horribles... Je reste quelques secondes toujours baguette levĂ©e tournant la tĂȘte dans tous les sens, ce serait dommage que j'en attire d' ma baguette dans ma main gauche je m'approche de la jeune fille qui Ă©tait restĂ©e au sol et lui tend ma main droite pour qu'elle la prenne et qu'elle se va tu n'es pas blessĂ©e ?J'avais toujours mon Lumos d'activĂ© on ne sait jamais si quelques choses d'autres arrivent on le saura assez vite, j'espĂšre juste ne pas croiser de loup-garou ce serait sacrĂ©ment bĂȘte... Je n'ai pas spĂ©cialement l'envie de devenir un lycanthrope. Madilyn NebuloPoufsouffle Re Rendez-vous au fond de la forĂȘtMadilyn Nebulo, le Dim 4 FĂ©v - 1654 Une lumiĂšre dans la nuit. Un Ă©clair. Qui zĂšbre l'obscuritĂ©. Une silhouette floue, rapide, qui se dresse d'un seul coup devant la crĂ©ature, et ces deux mots hurlĂ©s Arania ExumaĂŻ !Etincelles bleues, t'es Ă©blouie, l'espace d'un instant t'y vois plus rien, tu paniques, puis ça revient doucement. Les images, les couleurs. Et cet Ă©cho si lourd qui retentit comme un compte Ă rebours. Ton pouls. Qui rĂ©sonne en toi comme un rappel du danger, de ta peur de ta faiblesse. Tu n'es plus aveugle, maintenant, mais muette. Le brouillard s'ĂŽte de tes pupilles et tu prends conscience de la prĂ©sence d'un garçon juste lĂ . Et tu rĂ©alisesC'est luiLa silhouetteLe sortLe sauvetageC'est luije... je crois... mais... cette peur...Toujours Ă terre, entre tes larmes, pantin de l'adrĂ©naline, tu suffoques. Peu Ă peu tu t'habitues mieux Ă la lumiĂšre et retrouves toutes tes capacitĂ©s visuelles. Tu le vois et il te voit. Ton coeur bat de plus est si beau... EclairĂ© par sa baguette, l'air inquiet, mais rassurant. Tu n'es pas si naĂŻve, tu sais que tu offres un misĂ©rable spectacle, toute rouge et larmoyante. Mais... lui. Ton regard s'accroche au sien et tu ne parviens plus Ă t'en dĂ©tacher. Un magnĂ©tisme, une force obscure dans ses yeux si hypnotiques. Tu parviens Ă peine Ă je crois que c'est ma cheville... La douleur t'arrache de nouveau des larmes, mais tu n'y prĂȘtes plus attention, obnubilĂ©e par cet ĂȘtre, cette aura, cette chaleur. Immobile, mĂ©dusĂ©e, tu restes suspendue Ă lui tout entier. Tu te sens sombrer... Et cet Ă©cho...boum boumboum boumboum boum InvitĂ© Re Rendez-vous au fond de la forĂȘtInvitĂ©, le Sam 10 FĂ©v - 2304 LA de as le miens si fois que je me retrouve face Ă elle, je constate qu'elle a toujours les yeux fermer j'ai un petit sourire amusĂ© qui s'affiche sur mon visage, espĂ©rons qu'elle fĂ»t juste Ă©blouie avoir les yeux fermers en pleine forĂȘt ce n'est pas une bonne idĂ©e. AprĂšs quelques secondes elle m'explique qu'elle a eu trĂšs peur je peux comprendre je n'ai pas spĂ©cialement peur des araignĂ©es mais une acromentule ce n'est jamais un plaisir Ă voir. Avec la lumiĂšre de mon Lumos je vois qu'elle essaye de reprendre son souffle et qu'elle a encore quelques larmes sur ses joues, visiblement elle a remarquĂ© que je la regardais elle semble accrochĂ©e Ă mon regard. Ă me fixer comme ça je me sens lĂ©gĂšrement mal Ă l'aise et je passe ma main dans mes cheveux avec un sourire gĂȘnĂ© quel idiot...Elle tente finalement de se relever mais reste au sol en mentionnant sa cheville, je m'agenouille alors Ă cĂŽtĂ© d'elle prenant dĂ©licatement son mollet et pointant ma baguette vers celui-ci, je ne suis pas medicomage mais je suppose qu'elle s'est peut-ĂȘtre foulĂ©e la cheville. Je tourne de nouveau la tĂȘte vers elle et constate qu'elle a fermĂ© les yeux... M*rde ! Son Ă©tat de choc la mise K. O, trĂšs mauvaise idĂ©e de la soulager ici me mettant Ă sa hauteur je la prends dans mes bras et l'emmĂšne Ă l'extĂ©rieur de la fois en sĂ©curitĂ© je la pose assise contre un arbre et retourne Ă son mollet que je prends dĂ©licatement Ă nouveau, baguette Ă nouveau pointĂ©e sur celui-ci je prononce doucement un Curo As Velnus, me permettant de lui retirer sa chaussure je lance un Ferula pour que toute sa cheville soit prise dans un bandage pour maintenir le tout en place avant de la lui remettre dĂ©licatement. Une fois tout ça fait je me place Ă cĂŽtĂ© d' je bascule ma tĂȘte en arriĂšre et essaye de nouveau de voir les Ă©toiles ainsi que la lune, quelle soirĂ©e moi qui penser que ça allez ĂȘtre tranquille au final je sauve une jeune fille d'une acromentule et voilĂ que je me mets Ă la soignĂ©e, j'ai l'habitude de blesser les gens par des soigners... Ăa fait un drĂŽle d'effet...-J'espĂšre que nous n'allons pas passer la soirĂ©e Ă la belle Ă©toile... Je n'ai pas prĂ©vu de sac de couchage et encore moins de couverture. Madilyn NebuloPoufsouffle Re Rendez-vous au fond de la forĂȘtMadilyn Nebulo, le Sam 17 FĂ©v - 1847 LA mutuels pour tout le RPLe timbre chaud de sa voix te rĂ©veille, Belle au bois dormant revient d'entre les morts. Et puis tu sens sa prĂ©sence, son corps tout prĂšs du tien, ses mains, ses yeux. Ses yeux....Le silence vous recouvre de son doux Ă©crin, seules les Ă©toiles vous regardent, belles indiscrĂštes, et le rictus de la lune se reflĂšte Ă l'infini dans ta rĂ©tine. La blancheur radieuse de l'astre sĂ©lĂ©nite jette une larme sur vous deux, t'offrant une parcelle d'image de son sourire, fugace capture, instant dans ta mĂ©moire. Tu le regardes longtemps, sans qu'il le sache, tant qu'il croit que tu es encore endormie. Il est beau quand il se croit seul...Ćillade volĂ©e, souvenirs de lui collectĂ©s, un bĂ©guin, sauveur Ă©phĂ©mĂšre, un amour qui mourra sĂ»rement avec l'Ă©vanouissement de la rediriges ton regard vers les scintillantes, perles de jour dans l'ombre. Elles vous admirent silencieuses, et vous leur rendez la pareille, d'Ă©gal Ă Ă©gal avec l'immensitĂ©, vous surplombez le Ă©toiles nous protĂ©geront, et le ciel nous couvrira...Cette fois vos regards se croisent. Se chassent. Se choquent. S'attirent. Et se fondent l'un dans l' intense forgĂ© dans le tu veuxTu veux ĂȘtre l'oiseau qui transcende l'abĂźme, vol veux ĂȘtre l'arc-en-ciel qui sublime la voluptĂ© onctueuse de son soleil qui illumine un peu plus la couleur de sa voĂ»te, son juste un point de silencieuse, belle ton pouls tempĂȘte, diluvien, Ă©clairs, orage, cyclone, flaque, trombes, averses. T'es toute trempĂ©e, tu nages, et tu suffoques, l'ocĂ©an bleu te domine, et la vague t'a balayĂ©e, alors... tu succombes Ă l' tes lĂšvres se posent sur les siennes, dĂ©licates, papillon sur une fleur. Tes bras se dĂ©ploient pour l'entourer, et tes doigts plongent dans ses cheveux. Reste. Reste avec tu deviens gĂ©ante rouge, la fiĂšvre t'attaque, et tu le resserres encore contre toi, tes yeux clos, tu fais confiance Ă tes autres sens pour saisir le moments et les sensations. Tes lĂšvres le visitent, sa peau veloutĂ©e, son cou vers lequel elles dĂ©rivent, tu l'explores, tu t'explores, tu cherches, et tu trouves. Tes mouvements sont lents, dĂ©licatesse, tu le goĂ»tes et tu t'Ă©cartes un instant. Reprend ton souffle. Mordille ta lĂšvre infĂ©rieure. Puis la vent s'est levĂ©, et tu te fais plus intense, tu agrippes Ă lui, et ne veux plus t'en dĂ©crocher. te redresses et t'assois sur l'herbe, le tire lĂ©gĂšrement Ă faire de mĂȘme, Ă l'attirer vers toi aussi, imperceptiblement. Ton cĆur rĂ©sonne toujours, exultĂ©. Un dernier regard vers les Ă©toiles complices avent de replonger vers lui. Tu lui as montrĂ© ta lumiĂšre. Tu prends sa main et la poses sur ta joue, chaque fragment de ton Ă©piderme est en Ă©veil, et n'attend que lui et le retour de la vague. A toi. InvitĂ© Re Rendez-vous au fond de la forĂȘtInvitĂ©, le Sam 17 FĂ©v - 2008 TW Attouchement et baiser coquinJe ne sais pas combien de temps il sait Ă©couler avant que la douce voix de la jolie crĂ©ature a la criniĂšre de feu ne transperce le silence de la nuit, alors je la regarde avec un agrĂ©able sourire. Elle n'a pas l'air d'avoir mal c'est le principal mais rĂ©pond Ă ma phrase que j'ai dite il y a quelques minutes. Donc elle Ă©tait dĂ©jĂ rĂ©veillĂ© petite espionne, je tourne alors ma tĂȘte vers elle et je croise son regard, non c'est faux... Je ne croise pas son regard mais je plonge dedans tel dans un trou noir, elle a une petite Ă©tincelle qui m'appelle sans que je ne sache pourquoi. Pourquoi ? Pourquoi me fixes-tu autant et pourquoi je te fixe autant... Je cligne des yeux avant d'ouvrir la bouche et de te dire fait je me su...Pas le temps de finir ma phrase que la jeune fille se jette sur moi posant ses lĂšvres contre les miennes d'une dĂ©licatesse que je n'ai jamais connue... Je ne rĂ©agis pas tout de suite laisse mon oeil ouvert de stupĂ©faction elle en revanche a l'air d'Ă©normĂ©ment apprĂ©cier alors qu'elle passe ses bras autour de moi et de plonger ses mains dans mes cheveux fermant alors mes yeux je profite de la situation, agrĂ©able, un immense brasier brĂ»le alors au fond de mon ĂȘtre, me poussant Ă vouloir plus encore et encore comme une soif insatiable. Elle commence alors Ă embrasser mon cou contact qui me recouvre de frisson, je lui mordille le cou trĂšs rapidement avant de lui dire dans un lĂ©ger dangereux jeune s'Ă©carte alors lĂ©gĂšrement, se redresse et mon instinct primaire prend le contrĂŽle de mon ĂȘtre en lui attrapant la main et l'installant Ă califourchon contre moi, sentir son corps brĂ»lant... Ta main gauche glisse le long de sa cuisse sous sa jupe pour remonter jusqu'Ă son fessier, alors que ta main droite glisse le long de son dos pour se placer Ă sa nuque relevant sa tĂȘte alors que tu glisses ta langue le long de son cou avant d'embrasser cette fine partie de m'as donnĂ© "faim" tu en as conscience j' l'embrasse langoureusement avant de la regarder avec un sourire amusĂ© mes mains toujours Ă leur rencontres avec toi ce passe toujours comme ça ? J'ai hĂąte de te rencontrer Ă nouveau demain dans ce cas. Madilyn NebuloPoufsouffle Re Rendez-vous au fond de la forĂȘtMadilyn Nebulo, le Ven 23 FĂ©v - 1933 TW contenu sensibleVos corps se meuvent Ă lâunisson, chorĂ©graphie sous lâobscuritĂ© complice, pimentant lâinstantanĂ©. Dâabord pris de court, lâĂȘtre dĂ©sirĂ© se prend au jeu, et sây prend bien... La bĂȘte sâĂ©veille et ta peau rugit au contact de ses lĂšvres, ses dents, sa bouche sur ton cou et son Ă©piderme fin. Tu fermes les yeux et bascules la tĂȘte en arriĂšre, voulant quâil humecte chacun des grains de ta peau, sensation enivrante, tu tâembrases et il tâembrasse tant et tant que tu veux tâengouffrer toute entiĂšre dans ces lĂšvres si pures, si belles. Tu respires rapidement, quelques tremblements te prennent, tu veux sombrer, sombrer plus encore. Sombrer...Tu te replonges dans son regard et tentes de contenir cette lave, ce brasier en toi, qui sâempare de toi et qui tâeffraie, ce brasier dâenvie bouillonnante. Tu te mords la lĂšvre infĂ©rieure en le regardant. Tu te dĂ©tournes un instant avant de revenir vers ce regard incendiaire, comme aimantĂ©e par cette chaleur qui provient de sa peau et qui est si prĂ©sente en toi aussi...C'est dangereux jeune fille...Et aujourd'hui tu as envie de danger. Mourir s'il le faut. Pour lui, pour ce moment...Je sais...Sa main attrape la tienne, Ă©veillant toujours plus de flammes en toi, crĂ©pitantes et dĂ©vorantes. Alors en un mouvement dĂ©liĂ© il t'installe Ă cheval sur lui, et tu imploses, tu t'abandonnes Ă lui, plongeant ta tĂȘte dans son cou, et l'embrassant Ă l'infini, lĂ©chant, mordillant. Tes mains le caressent doucement...Ses mouvements se font rapides et tandis que ses doigts se font tes maĂźtres, te domptant et te possĂ©dant tout en t'accrochant la nuque pour offrir ton cou gracile Ă sa langue, l'autre main s'aventure sous ta jupe, caressant tes formes en feu, ta respiration SĂ©bastien sait plus affolĂ©e encore, et d'un coup sec tu saisis son col. Tu joues avec un moment avant de l'agripper violemment et de l'attirer Ă toi, toute en t'embrasse longuement, des deux dartfifi e inconnus explosent partout en toi, on dirait presque que tu meurs alors qu'en fait tu vis plus que jamais. Tu laisses ta langue laser jusqu'Ă son cou et Ă peine plus bas. Pendant ce temps ton bassin s'affole et tu le fais dangereusement tanguer, mouvements lents, dans lascive. Tu te frottes Ă lui en ondulant tes hanches, et explores plus haut en tirant sur ce col tortuonnaire pour explorer plus en profondeur son torse bouillant avec les doigts et les a faim ? TrĂšs bien dans ce cas, Ă table... InvitĂ© Re Rendez-vous au fond de la forĂȘtInvitĂ©, le Lun 26 FĂ©v - 1150 La nymphe a la chevelure de feu est trĂšs belle et dangereuse, ses baisers sur mes lĂšvres et mon cou me font perdre toute rĂ©sistance je veux plus encore et encore plus. Elle sait que c'est dangereux, je pourrais la briser comme une poupĂ©e de porcelaine mais quelque chose en elle me fait prouver le contraire, serais-tu une Succube ma douce ? Je ne sais guĂšre, je sais simplement qu'elle a envie de moi et que j'ai envie d'elle. Ses mouvements contre moi provoquent chez moi une rĂ©action immĂ©diate serrant ma prise sur elle et dans un mouvement, je la fais s'installer dos Ă moi glissant mes mains sous son chemisier lui embrassant le cou pour qu'au final. Je la bascule sur le cĂŽtĂ© pour me permettre de me relever et de bien replacer mes la regarde elle semble surprise, lĂ©chant mes lĂšvres supĂ©rieures et infĂ©rieures pour en rĂ©cupĂ©rer le moindre petit nectar de ses lĂšvres et de son goĂ»t je la regarde avec un petit ma douce Nymphe. Mais ce n'est pas l'endroit idĂ©al pour ça... Je m'approche d'elle pour la prendre par en-dessous des bras et la remettre debout Ă son tour et de la regarder dans les yeux voir correctement sa chevelure de feu sous le regard glacial de la revanche j'ai trĂšs hĂąte de te revoir si tu es d' mes mains jusqu'Ă sa taille je lui embrasse tendrement la joue avant de lui susurrer Ă l'oreille tel un serpent que je peux m'appeler Jace. Madilyn NebuloPoufsouffle Re Rendez-vous au fond de la forĂȘtMadilyn Nebulo, le Dim 4 Mar - 1825 Il te serre plus fort encore, et tu voudrais t'abandonner toute entiĂšre Ă lui, tu voudrais ne jamais quitter ces bras enjĂŽleurs, faiseurs de paradis et de sensations parfaites. Tu voudrais que vous ne vous lĂąchiez jamais, tu rĂȘves de le sĂ©duire toute la vie, le possĂ©der toujours, et conserver Ă©ternellement ce moment de voluptĂ©. Gestes fluides, tu bascules Ă nouveau entre ses mains agiles, pour te retrouver dos Ă lui, sans pour autant lĂącher son crĂąne ni arracher tes lĂšvres Ă son cou et Ă sa peau dĂ©licieuse, tes yeux toujours clos, et ce volcan explosant toujours en toi, doigts glissent sur ta peau fiĂ©vreuse et ses lĂšvres sur ton cou, en mille feux d'artifices, tu aimerais tant que ses mains continuent Ă modeler ce plaisir incomparable, qu'elles continuent Ă dĂ©crire tes dĂ©sirs. Tu n'aurais jamais cru les corps et le charnel si puissants, mais ce soir ils le sont tellement que tu n'es plus qu'un corps vibrant d'envies yeux plongent dans les tiens encore une fois, et tu t'empares de son visage pour le faire tien, caressant sa peau et ses lĂšvres avant de sourire, toi aussi. Tu veux pouvoir me rappeler de lui tout ma douce Nymphe. Mais ce n'est pas l'endroit idĂ©al pour ça...Mille Ă©pines et aiguilles dans ton cĆur qu'on arrache comme on t'arrache Ă lui. Et pourtant tu comprends et tu sais qu'il a raison. Mais c'est si dur... Tu dissimules ta dĂ©ception bien rĂ©elle derriĂšre une moue boudeuse destinĂ©e Ă le faire succomber encore aux charmes de sa Nymphe. Tu sais qu'il ne cĂ©deras pas mais tant pis. Te bercer encore dans l'illusion...-En revanche j'ai trĂšs hĂąte de te revoir si tu es d' rĂ©ussit Ă t'arracher un sourire, et tu passes tes bras autour de ses Ă©paules en pressant ostensiblement ta poitrine contre la comment... Je me languis dĂ©jĂ de toi...Tu prononces ces mots d'une voix charmeuse, et tu les ponctues en te lĂ©chant les lĂšvres, dĂ©pose un baiser sur ta joue, et murmure Ă ton peux m'appeler plantes ton regard dans le sien, farouche. Alors c'est le nom de cette si dĂ©licieuse crĂ©ature...Je suis tu t'enfuis, lĂ©gĂšre, laissant derriĂšre toi un dernier baiser intense et langoureux. Max ValdrakSerdaigle Re Rendez-vous au fond de la forĂȘtMax Valdrak, le Mer 23 Mai - 1518 Un peu plus de deux mois sans rĂ©ponse[RP Unique]Une nouvelle pageMoment d'Ă©vasion. Moment hors du temps. Fuir seul mot dominant. Fuite de la rĂ©alitĂ© et des problĂšmes liĂ©s. Fuite de tout et de tout le monde. Fuite pour ne pas faire de mal et ne pas avoir mal. Implosion en cours. Des pensĂ©es plus prĂ©sentes. Des mots qui tendent Ă disparaitre. Revenu d'un bond en une question. Une simple interrogation. Une courte Ă©vocation. Entretien au ministĂšre. Alors que la pente tendait Ă se rapide. Esprit perdu. Ne sachant quoi faire. Je m'Ă©vadais. L'esprit et le corps. Dans la nature. Forme animal de mise. Je ne cherchais pas Ă comprendre oĂč j'allais. Ni mĂȘme Ă retenir le chemin que j'empruntais. J'en avais besoin. Juste me sentir de ces chaines du passĂ© qui se jetteront sur moi dĂšs que je mâarrĂȘterais. Non je devais pas. Seulement quand la fatigue sera trop grande. Que mes jambes ne voudront plus avancer. Plus me porter. Contrainte alors Ă mâarrĂȘter. En attendant, je grimpais, sautais, tombais, courais. Ralentissant petit Ă souffle venait Ă manquer. Pause obligĂ©e pour le reprendre. Sans mĂȘme me soucier de mon environnement. Je m'assis au pied d'un arbre. Regardant ses hautes branches. Tenant mon esprit occupĂ© tandis que mon corps lui se reposait. Tandis que...Bruit. RĂ©flexe. Mouvement. GriffĂ©e. RetransformĂ©e. Humain face Ă l'animal sauvage qui venait d'attaquer. Raison inconnue. Nouvelle attaque. Au mĂȘme moment, sortie de la baguette. Bestia domin...Un seul des deux rĂ©ussi son coup. Les gouttes de sang sur le sol rejoignant la baguette ne laissant que peu de place Ă aucun doute. Perdue. QuadrupĂšde trop proche du visage. Aucune place Ă la rĂ©flexion. Je ne rĂ©flĂ©chissais plus. Quelques instincts toujours prĂ©sents. Des rĂ©flexes d'il y a longtemps. Main non touchĂ© attrapant la premiĂšre garde dans la poche. Un poignard. Premier Debout. Un partout. Balle au centre. Il ne partit pas pour autant. La fatigue. La tristesse. La colĂšre. Tout accumulĂ©s j'avais du mal Ă penser. De rĂ©flĂ©chir Ă une vraie solution. Je ne me maitrisais plus. FigĂ©e par la peur et la douleur. Mode automatique enclenchĂ© depuis quelques jours sans mĂȘme savoir pourquoi exactement. Des nerfs Ă vif. aux yeux. Pourquoi moi? Je ne savais pas. Je ne voulais pas et pourtant la vie en avait dĂ©cidĂ© autrement. Le hasard, les coĂŻncidences n'Ă©taient pas vraiment de mon cĂŽtĂ©. Je sentais que c'Ă©tait fini quand l'animal sauta. FigĂ©e. Arme en avant. Tout allait donc se finir maintenant. Yeux dans les yeux. Rapprochement. Choc. Claquage de mĂąchoire. Hurlement. Puis soudain plus un bruit. Plus un ce vraiment la fin? Pas de noir? Pas de lumiĂšre? Test. rĂ©pondant aux signaux. Et si...PensĂ©es envolĂ©es. Corps de l'animal sur moi, poussĂ© sur le cĂŽtĂ©. Il Ă©tait trop tard pour lui. Puis la dure rĂ©alitĂ©. Un de nous respirait toujours. Non je n'avais pas...Si. Mon couteau dans son ventre. Je ne comprenais pas. Comme si tout ce temps ce n'Ă©tait pas moi. Redescente sur Terre rapide. Des larmes. Assise prĂšs du corps. M'excusant mais il Ă©tait trop tard. Je ne savais pas combien de temps, je restais ainsi bloquĂ©e. Je savais juste ce qui m'avait rĂ©veillĂ©e. Deux louveteaux qui tournaient autour de mon voisin. Deux enfants qui venaient d'arriver. Constat encore plus dur. Une louve. Comment avais-je pu ĂȘtre aussi aveugle? Une mĂšre de deux trĂšs jeunes petits. Elle cherchait sĂ»rement juste Ă les protĂ©ger. Je me sentais encore plus insensĂ©e venant d'ĂȘtre prise. Rox et Rouky arrivant. Inquiets restant prĂšs de moi. Regard vers le bras meurtri. Puis venant au plus prĂšs. Montrant leur attention. Comme s'ils me cherchaient depuis un moment. Un regard vers eux. Un vers les petits. Je ne pouvais pas les laisser ici. S'il leur arrivait quelque chose je ne pourrais me le pardonner. Je promis alors au corps de la mĂšre de prendre soin des enfants. Je tentais alors de les prendre. Mais l'odeur de sang semblait les repousser Ă moins que cela ne soit que moi. Ils Ă©taient tellement jeunes. Rox et Rouky s'approchĂšrent alors. En prirent un chacun. Aucun ne dit rien. Ils Ă©taient bien calmes. Je ne savais comment remercier mes deux amis. Maintenant il nous fallait rentrer. Soigner mes plaies. Quelque chose me disait que cela n'Ă©tait peut ĂȘtre pas un hasard mais un signe. Signe de changement. Et si...Fin Max ValdrakSerdaigle Re Rendez-vous au fond de la forĂȘtMax Valdrak, le Mer 8 AoĂ» - 1615 Une bombe Ă retardementAvec Aidan CrayCheval pĂ©trifiĂ©. Comment quelquâun avait pu oser? Cheval pĂ©trifiĂ©. Je me sentais basculer. Cheval pĂ©trifiĂ©. Ces mots nâarrĂȘtaient pas de tourner. Cheval pĂ©trifiĂ©. NâĂ©tait-ce pas une peur pour soi plus que pour lâanimal? Cheval pĂ©trifiĂ©. Maintenant je me devais de le ramener. Cheval pĂ©trifiĂ©. Personne pour aider. Cheval pĂ©trifiĂ©. Je me retenais de hurler. AprĂšs avoir trouvĂ© foyer pour lâanimal. Le sachant maintenant entre de bonnes mains je pouvais rentrer. Ne poser. RĂ©flĂ©chir. Repenser aux Ă©vĂ©nements passĂ©s. Ce nâĂ©tait pas forcĂ©ment grand-chose et pourtant. Ce nâĂ©tait quâun animal comme dirait certains et pourtant. CâĂ©tait pour la bonne cause et pourtant. Et pourtant jâavais mal. Jâavais mal pour lui comme jâavais mal pour moi. Non ce nâĂ©tait pas pas grand-chose », tous les actes ont une importance et sâattaquer Ă un animal nâest pas excusable. CâĂ©tait peut-ĂȘtre quâ un animal » mais câĂ©tait aussi et surtout un ĂȘtre vivant. Non ce nâĂ©tait pas pour la bonne cause, du cĂŽtĂ© de qui? Nous pensons toujours que nos actes sont bons mais le sont-ils vraiment? Je sentais quelque chose monter en moi. Quelque chose que je mâefforçais de cacher mais qui dâun coup voulait ressortir. Je pensais que ce feu ravageur avait fini par mourir. Tout cela nâĂ©tait quâillusion. Je nâĂ©tais faite avoir Ă mâauto assurer que tout allait mieux. Ce sĂ©jour en SuĂšde ne mâavait pas rĂ©ussi. Mon esprit ne voulait pas. Trop dâinformations. Trop de tout. Dans la forĂȘt je mâĂ©tais rĂ©fugiĂ©e. Contre un arbre jâavais frappĂ©. Il nâavait rien demandĂ©. Je mâexcusais. Je mâexcusais lorsque ma main craqua sous un impact. CâĂ©tait trop. Les larmes rejoignirent le sol comme les gouttes de chaleur. Mais mĂȘme avec la douleur anesthĂ©siant mon bras je continue. Encore. A frapper. Pauvre arbre innocent. Je nâen pouvais plus. Tout cela qui bouillonnait. Pas de piliers, trop instable. Impossible de me montrer. MĂšre qui me comparait. FrĂšre qui tentait de partager. LâinquiĂ©tude pour elle. Ce cĂŽtĂ© pas douĂ© pour prendre des nouvelles. Ce masque qui me collait Ă la peau. Aider les autres Ă©tait ce que je savais faire et encore, jâĂ©chouais. Garde-chasse. Garder une forĂȘt pour un Ă©cureuil. Je nây croyais toujours pas. Jâavais trouvĂ© un but mais lâavenir Ă©tait toujours flou. Que faire? Je ne pouvais pas le dire. Je ne voulais pas inquiĂ©ter. Le confessionnal mâavait un peu aidĂ© mais les cauchemars Ă©taient revenus. Devais-je y retourner? A bout de force, je tombais Ă genoux. Trop de rĂ©flexions. Je ne savais pas gĂ©rer. Je me dĂ©couvrais chaque jour une nouvelle peur, espace clos, abandon, la mort, le monde, moi, lâabandon⊠AbandonâŠcomme Ă ma naissance. Pourquoi avait-elle fait ce choix ? Je la comprenais mais je nâarrivais pas quelque chose me le monde se mit Ă tourner. Tout devient flou. Je me sentais partir. La fatigue lâemportait toujours. Jackson EmerenzianaMinistĂšre de la Magie Re Rendez-vous au fond de la forĂȘtJackson Emerenziana, le Jeu 9 AoĂ» - 2000 LA MaxNon mais pĂ©trifiĂ© un cheval quoi ! Il est fous le Directeur des Poufsouffles ! On ne pĂ©trifie pas un cheval b*rdel ! C'est un animal respectueux le cheval ! Il fait confiance aux Hommes ! Et toi... toi... tu le pĂ©trifie ! En plus j'ai mĂȘme pas eu le temps de me faire pardonner auprĂšs de la Garde-Chasse... C'est de ma faute tout ça en vrai ! Si j'Ă©tait un bon Professeur jamais le cours ne se serait passer comme ça... Les derniers Ă©lĂšves partis et la classe rangĂ© je descend en vitesse les escaliers, qui n'en font qu'Ă leurs tĂȘtes. Comme d'habitude de toute façon ! Et cela depuis des centaines d'annĂ©es ! Maintenant direction la maison de Miss Valdrak, j'aimerais voir le Cheval, savoir s'il vas bien... Avec le choc de ce sort il a dĂ» se faire mal... J'espĂšre pas en tout cas, sinon Anthony vas m'entendre crier. Ah voilĂ la maison... Exactement la mĂȘme quand j'Ă©tait Ă©lĂšve Ă Poudlard. Aucun cheval en vue, et personne Ă l'intĂ©rieur visiblement... Personne ne rĂ©pond Ă mes appels. Bon je fait quoi maintenant ?Mais... qu'est ce que tu fait le toutou ? Mais... lĂąche mon pantalon ! Je regarde incrĂ©dule un chien partir Ă la lisiĂšre de la forĂȘt puis revenir en aboyant. Tu veux que je te suive ? Un aboiement me rĂ©pond avant que le chien ne reparte en courant. Ils sont intelligents ces animaux quand mĂȘme... Plus que nous je dirais. EH MAIS ATTEND ! Je cours pas aussi vite que toi hein ! Oh bon sang... Mais il vas oĂč comme ça ? On s'enfonce beaucoup trop ! J'vois plus rien lĂ ... Lumus Solem Et m*rde... Je cours et saute par dessus les branches avant de tomber Ă genoux devant Miss Valdrak. Ces mains sont en sang... Mon dieu... Qu'est-ce qu'on a fait ?!? Je regarde tout autour de moi, pas de cheval en vue, juste le chien qui pousse la tĂȘte de sa maĂźtresse en vain. Posant un doigt sur sa jugulaire je vĂ©rifie que son cĆur bat toujours, ce qui est le cas. Je met ma baguette entre mes dents puis prend Miss Valdrak entre mes bras, je me lĂšve en gardant la jeune femme contre moi. Si je la fait lĂ©viter je pourrais la cogner contre un arbre... Le chien de ma collĂšgue passe devant moi pour me montrer le chemin, je le suis doucement, passant au dessus des racines et des troncs. Au bout de quelques minutes de marches, nous arrivons enfin Ă la lisiĂšre de la forĂȘt, d'un Nox j'Ă©teint ma baguette avant de m'approcher de la maison de Max, poussant la porte avec mon dos. Je pose dĂ©licatement la jeune femme sur son lit avant d'aller chercher un verre d'eau et une serviette quelconque. Je mouille son front afin de faire baisser la tempĂ©rature de son corps vĂ©rifiant qu'elle respire toujours. Miss Waldrak ? Max ValdrakSerdaigle Re Rendez-vous au fond de la forĂȘtMax Valdrak, le Mer 15 AoĂ» - 2223 - Papa, comme je suis contente de te voir. Regarde jâai eu mes BUSESâŠ- Oui câest bienâŠPiĂštre en potion?- DĂ©solĂ©e mais jâarrive pas en potion, je prĂ©fĂšre les soins aux crĂ©atures magiquesâŠ- Et comment tu veux soigner les crĂ©atures si tu connais aucune potions câest inadmissible- Maxilien câest pas grave câest justeâŠ- Si câest grave, ma fille se laisse distraire par des activitĂ©s futiles et toi tu lâencourages- Elle est encore jeune laisse la sâĂ©vader***Du feu. Une brulure. Un sort qui avait touchĂ© une amie. Sort de soin pour rĂ©parer. Mais lâeffet inverse. Je lâavais brulĂ©e. Jâavais amplifiĂ© le sort. Jâavais blessĂ© en voulant aider. Jâavais fait du mal. JeâŠ***Lancer un reparo sur un vase fissurĂ©. Le faire exploser. Vouloir faire voler un oiseau de papier. Le brĂ»ler. Ne plus vouloir utiliser la magie. Ne plus vouloir blesser. Ne plus vouloir faire du mal. Se sentir seule. Ne pas ĂȘtre Ă sa place. Tenter de faire de son mieux. Et juste tout louperâŠ***Une lettre. Mise Ă la porte. Passer ses aspics sans dormir la nuit. Ecrire entre deux larmes. Partir sans prĂ©venir. Regretter aprĂšs. Faire les mauvais choix. Toujours les mauvais choix. Ne pas vouloir inquiĂ©ter. Se faire oublier. Mais ne pas oublier. Ressasser. Apprendre la mauvaise nouvelle. Vivre reculĂ©e du monde une annĂ©eâŠ***Uevenir sans masque. Revenir sans repĂšres. Etre juste seule. Apprendre quâon a un frĂšre jumeau. DĂ©couvrir sa vraie mĂšre. Se sentir Ă©trangĂšre. Ne rĂ©ussir Ă rien faire. Passer ses soirĂ©es dans la forĂȘt a se faire attaquer. Cacher ses cicatrises. CacherâŠ***Jâouvrais doucement les yeux. Quelque chose de froid Ă©tait sur mon front. Ma tĂȘte me faisait mal. Mes mains me faisaient mal. Mon cĆur me faisait mal. Je ne savais pas comment arrĂȘter ces voix dans mon esprit. Jâavais lâimpression que les scĂšnes des souvenirs se rĂ©pĂ©taient en boucle. Jâavais lâimpression que rien ne pouvait les faire sâarrĂȘter. Juste de lâair. JeâŠDe lâair. Je tournais difficilement la tĂȘte puis tentais de me redresser quand je vis une personne prĂšs de moi. Mon cĆur sâaccĂ©lĂ©ra. Il mâavait vu⊠Je⊠Non. Il ne devait pas⊠Rester cacher. Rester souriante. Je ne voulais pas queâŠJe me ravissais de me redresser pour le moment. Tentant simplement dâesquisser un sourire. Un faux sourire. Mais oĂč Ă©tais-je? Je nâĂ©tais plus en forĂȘt. Il mâavait donc vu et ramener. Comment? Pourquoi? Ma voix Ă©tait partie et seuls quelques rares mots apparurent dans les Merci Aidan. Re Rendez-vous au fond de la forĂȘtContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Levent tournait. Les feuilles de la vie pouvaient s'échouer en quelques secondes. Un acquis pouvait voler en éclats. Un principe en lambeaux. Je voyais celle Les feuilles de la vie pouvaient s'échouer en quelques secondes.
DEFUNTS â OBSEQUES M. Wittal Polyphonies et voix disponibles Pas encore dâenregistrements disponibles. Partitions Voir Venez a moi vous qui portez un fardeau Cette partition est protĂ©gĂ©e, veuillez vous connecter. RĂ©fĂ©rences de la partition Cote SECLI EDIT 15-74 T M. Wittal M Ed Editions de lâEmmanuel Paroles Venez Ă moi, vous qui portez un fardeau R. Venez Ă moi, vous qui portez un fardeau Venez vous tous qui peinez, Et moi, Je vous soulagerai, Je suis le repos de vos Ăąmes. 1. Mettez-vous Ă mon Ă©cole, Car Je suis doux et humble de cĆur. Prenez mon joug, il est aisĂ© Et vous trouverez la paix⊠Mon fardeau est lĂ©ger ! 2. Devant toi je tiens mon Ăąme, Comme un enfant dans les bras de sa mĂšre. Seigneur mon Ăąme espĂšre en toi ! En silence et dans la foi, JâespĂšre le Seigneur !
voustous qui peinez sous le poids du fardeau. Il y a des Ă©preuves pĂ©nibles Ă vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible Ă la misĂšre d'autrui. Mais il y a des Ă©preuves extrĂȘmement lourdes dont rien de bon ne semble sortir : injustice et rĂ©volte sont les seuls mots qui peuvent exprimer l'insoutenable pour les personnes touchĂ©es. C'est Ă
Il y a des Ă©preuves pĂ©nibles Ă vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible Ă la misĂšre d'autrui. Mais il y a des... Lire la suite 12,99 ⏠E-book - ePub Ebook TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 12,99 ⏠Grand format ExpĂ©diĂ© sous 3 Ă 6 jours 17,90 ⏠Vous pouvez lire cet ebook sur les supports de lecture suivants TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat DĂšs validation de votre commande Offrir maintenant Ou planifier dans votre panier Il y a des Ă©preuves pĂ©nibles Ă vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible Ă la misĂšre d'autrui. Mais il y a des Ă©preuves extrĂȘmement lourdes dont rien de bon ne semble sortir injustice et rĂ©volte sont les seuls mots qui peuvent exprimer l'insoutenable pour les personnes touchĂ©es. C'est Ă ces personnes que je destine ce livre. Je veux essayer de leur montrer que, mĂȘme dans le plus grand des tourments, une maladie incurable, une trahison, une disparition brutale, un chrĂ©tien n'est pas complĂštement dĂ©semparĂ©. Il se tourne vers le Seigneur comme un pauvre, dĂ©pose sa souffrance dans ses bras et il Ă©coute JĂ©sus lui dire Ton fardeau, nous le porterons ensemble et ton sourire baignĂ© de larmes, je l'offre avec le mien au PĂšre, pour le salut du monde ! » C'est la mĂ©thode des saints et il n'est jamais trop tard pour l'adopter. PrĂȘtre du diocĂšse de Cambrai, l'auteur consacre aujourd'hui une partie de son ministĂšre Ă montrer, par des livres ou des chroniques Ă la radio, la vĂ©ritĂ© et la splendeur des mystĂšres chrĂ©tiens. Date de parution 13/01/2021 Editeur ISBN 979-10-336-1074-8 EAN 9791033610748 Format ePub Nb. de pages 264 pages CaractĂ©ristiques du format ePub Pages 264 Taille 699 Ko Protection num. Contenu protĂ©gĂ© Imprimable Non AutorisĂ© Copier coller Non AutorisĂ© Biographie de Pierre Descouvemont AprĂšs avoir Ă©tĂ© professeur de lycĂ©e, aumĂŽnier de jeunes, conseiller national des Equipes Notre- Dame, le pĂšre Descouvemont anime aujourd'hui retraites et Ă©missions de radio. Il est l'auteur d'une vingtaine de livres expliquant la foi catholique dont le Guide des difficultĂ©s de la foi catholique 12 Ă©ditions.
LhaYzUb. m6eq7edeqm.pages.dev/233m6eq7edeqm.pages.dev/658m6eq7edeqm.pages.dev/680m6eq7edeqm.pages.dev/742m6eq7edeqm.pages.dev/922m6eq7edeqm.pages.dev/894m6eq7edeqm.pages.dev/252m6eq7edeqm.pages.dev/466m6eq7edeqm.pages.dev/12m6eq7edeqm.pages.dev/432m6eq7edeqm.pages.dev/904m6eq7edeqm.pages.dev/58m6eq7edeqm.pages.dev/54m6eq7edeqm.pages.dev/558m6eq7edeqm.pages.dev/388
vous tous qui peinez sous le fardeau