Serrerla ceinture . Pour pas grossir . Sortir de l'enfer du vieillissement . Ce prendre par la main demain sera un autre jour. Rouler jeunesse . Fesse et tout le reste refait . La sagesse de l'ĂȘtre humain . Rien ne vaut la rĂ©alitĂ©e . Rester telle que l ont est . Mettre ces atouts en avant . Sans trop exagĂ©rĂ© . Exister dans sa chair
Alain JuppĂ© et François Fillon s'affronteront au second tour de la primaire de la droite et du centre. E. FEFERBERG/AFP Il y a quelque chose d’étonnant, pour ne pas dire inquiĂ©tant, dans le texte que viennent de signer 215 dĂ©putĂ©s et sĂ©nateurs de la droite et du centre et que "Le Figaro" publie ce matin. En plein dĂ©bat de l’entre-deux tours, les voilĂ  qui lancent un appel Ă  l’arrĂȘt des hostilitĂ©s entre les deux candidats et au rassemblement "De grĂące, n'utilisons pas ces gaz incapacitants que pulvĂ©rise rĂ©guliĂšrement la gauche pour tĂ©taniser ses adversaires ! [
] Pour battre la gauche et le Front national, nous devrons nous rassembler dĂšs dimanche prochain. Nous ne pourrons le faire pleinement que si ce second tour offre l'image que nous avons donnĂ©e jusqu'Ă  dimanche dernier celui d'un dĂ©bat franc mais respectueux des uns et des autres. Ne nous infligeons pas d'inutiles blessures, ne nous lançons pas dans des batailles stĂ©riles. Ensemble Ă©levons le dĂ©bat !" DĂ©valuer l'orateur pour Ă©viter de discuter ses paroles Que signifie le rassemblement avant un deuxiĂšme tour dont l’enjeu est forcĂ©ment de comparer deux hommes et deux programmes ? On voit bien la manƓuvre, il s’agit en fait de dĂ©crĂ©dibiliser Alain JuppĂ© en le rendant responsable d’une attitude arrogante – on a mĂȘme dit "au-dessous de la ceinture". C’est lĂ  une stratĂ©gie assez classique qui consiste Ă  dĂ©valuer l’orateur pour Ă©viter de discuter ses paroles. C’est l’ethos du locuteur qui est mise en cause, sa capacitĂ© Ă  garder son calme. Alain JuppĂ© n’est pas mon candidat, pas plus que François Fillon, comme je l’ai dĂ©jĂ  Ă©crit. Ces primaires de la droite ne me concernent pas. Si je prends aujourd’hui la dĂ©fense du maire de Bordeaux, c’est que je suis assez choquĂ© par la publication de ces politiques. Est-ce cela la dĂ©mocratie qu’on nous promet ? Il est clair aujourd’hui qu’au premier tour de ces primaires, les Ă©lecteurs ont votĂ© pour des personnalitĂ©s sans avoir Ă©tudiĂ© de prĂšs les programmes. Dans cet entre-deux-tours, il s’agit bien de dĂ©partager deux hommes sur leur programme. Dans ce contexte, que Alain JuppĂ© demande Ă  son adversaire de clarifier sa position sur l’interruption volontaire de grossesse n’est pas choquant, c’est mĂȘme nĂ©cessaire. Il ne faudrait pas que François Fillon gagne seulement sur sa "belle gueule" sans savoir ce qu’il veut. Quand les mesures sont "radicales", les citoyens ont le droit de savoir et Alain JuppĂ© a posĂ© des questions qu’ils se posent. Cette prise de position des dĂ©putĂ©s et des sĂ©nateurs de droite et du centre est de mauvais augure. On sent aujourd’hui que dĂ©jĂ  certains annoncent la couleur de ce que pourrait ĂȘtre l’ùre Fillon. Hier, certains Ă©diles interdisaient la reprĂ©sentation de deux hommes sur une affiche, alors qu’il s’agissait de lutter contre le SIDA. Aujourd’hui, on attaque le droit de dĂ©battre Ă  l’intĂ©rieur d’un mĂȘme parti. Si Fillon est Ă©lu, sera-t-on obligĂ© de se taire quand on voudra le critiquer ? Est-ce cela la dĂ©mocratie qu’on nous promet ? D’une certaine façon, en voulant dĂ©fendre leur mentor, ces politiques entame la crĂ©dibilitĂ© de son ethos. A-t-il besoin de mobiliser des troupes pour se dĂ©fendre des attaques de ses adversaires ? Ne peut-il pas se dĂ©brouiller tout seul ? Faudra-t-il qu’il ait toujours derriĂšre lui, ce systĂšme tant honni ? VoilĂ  qui Ă©corne en tout cas son image.
Ilm'a menĂ© Ă  toi. Et je lui suis reconnaissant pour ça Rose. Je lui suis reconnaissant. Tu dois me faire cet honneur. A prĂ©sent promet moi, que tu vas survivre, que tu n'abandonneras jamais, quoiqu'il se passe, mĂȘme si ça Ă  l'air sans espoir, promet-le moi, maintenant, Rose. Et ne rompts jamais cette promesse. - Je te le promets.

Partie en pleine nuit d’AngoulĂȘme, une colonne d’Allemands et de miliciens, forte de quatre cents hommes avec automitrailleuses et artillerie lĂ©gĂšre, arrive le 24 juillet au petit matin par la C. D. 4 devant le barrage Ă©tabli Ă  Varaignes. C’est le type de colonne qui se veut punitive. Pleine d’illusions, elle compte bien arriver Ă  Nontron dans la journĂ©e... elle dĂ©chantera. Extrait du journal de marche de la 2iĂšme Compagnie Manu Le 24 juillet au matin, l’attaque se dĂ©clenche soudain avec violence. Des unitĂ©s de l’armĂ©e allemande et de la Milice, bien renseignĂ©es et Ă©valuĂ©es Ă  quatre cents hommes, surgissent par les routes de BiĂ©e et d’AngoulĂȘme, fonçant sur notre barrage. Il est 7 h 15, les premiers coups de feu sont Ă©changĂ©s entre les miliciens et la sentinelle avancĂ©e, H. Dugas, qui abat le capitaine de la Milice et plusieurs hommes. Dans une lutte inĂ©gale mais hĂ©roĂŻque, il tombe frappĂ© Ă  mort, et rien ne sĂ©pare plus les assaillants de la ligne Ă©tablie. RassemblĂ©s pour le jus, les hommes ont eu le temps de prendre leurs armes et d’organiser la dĂ©fense. L’opacitĂ© du brouillard et le qui commence Ă  crĂ©piter freinent sĂ©rieusement l’avance de l’adversaire qui cherche Ă  nous contourner en longeant le Bandiat. Le tĂ©lĂ©phone coupĂ© par nous, un premier repli est effectuĂ© Ă  200 m en arriĂšre du barrage. DĂ©jĂ  deux de nos camarades, Delaret et Lapeyronnie sont aux mains des miliciens et fusillĂ©s sur‑le‑champ. Mais voici qu’arrivent deux de nos groupes, l’un de La Chapelle‑Saint‑Robert, l’autre de La Victoire, ce qui porte notre effectif Ă  trente. MalgrĂ© l’écrasante supĂ©rioritĂ© de l’adversaire, la 2e Compagnie ne recule que pied Ă  pied. Vaillamment, le chef Manu garde le contact et assure la retraite de ses hommes. Ruais griĂšvement blessĂ© est pris par les miliciens et lĂąchement fusillĂ© peu aprĂšs au chĂąteau des Forges. Venant de demander du renfort, P. Fauconnet, dit Flin, tombĂ© avec sa voiture entre les mains de l’ennemi est aussitĂŽt passĂ© par les armes Ă  la gare de Varaignes. Il est 9 h et l’on se bat encore au Grand‑Moulin, Ă  600 m seulement du barrage. Voici enfin les premiers renforts ‑ des ‑ qui s’installent au passage Ă  niveau des Forges. Le regroupement s’opĂšre mais l’ennemi accentue sa pression au moyen d’automitrailleuses et d’artillerie lĂ©gĂšre, prenant Ă  partie le village du Cousset. Le combat se dĂ©roule, coupĂ© par de rares accalmies jusqu’à 14 h. SupĂ©rieurs en nombre, et surtout en matĂ©riel, les Allemands nous contraignent Ă  la retraite. Dans un sursaut d’énergie, une derniĂšre ligne de rĂ©sistance est Ă©tablie Ă  Forgeneuve. Le F. M. du sergent Vinet fait le vide dans les rangs de l’assaillant. A. Magnan, dit Balo, est alors blessĂ© Ă  l’omoplate. Voulant Ă  tout prix atteindre Nontron avant la nuit, l’ennemi s’acharne et nous refoule jusqu’aux abords de Javerlhac. La partie semble perdue mais l’arrivĂ©e soudaine d’importants renforts renverse la situation. InquiĂ©tĂ©s sur leur flanc droit par une arbalĂšte du GM 1 et se croyant coupĂ©s, miliciens et Allemands rebroussent chemin. Il est 16 h, en repassant la Milice fait sauter nos deux camions restĂ©s au barrage et incendie notre cantonnement. PiĂštre vengeance Ă  cĂŽtĂ© de leurs soixante morts et blessĂ©s. Le soir mĂȘme, le barrage est rĂ©occupĂ© par les F. F. I., tandis que la 2iĂšme Compagnie regroupĂ©e rend les honneurs funĂšbres Ă  ses cinq hĂ©ros. Il est certain que sans les de Jacques, les effectifs de Manu, que l’on peut Ă©valuer Ă  trente combattants dont six seront tuĂ©s, ne sont pas suffisants pour endiguer l’attaque. Heureusement, que le chĂąteau de Puycharneau n’est guĂšre qu’à 19 km et que Jacques est prĂ©venu presque immé­diatement... Seconde version dĂ©crite dans l'ouvrage de Marc Leproux Nous, les terroristes » Lundi 24 juillet Ă  7 h 15 Rageusement la sonnerie du tĂ©lĂ©phone retentit. Jacques s’empare rapidement de l’écouteur et tout de suite sa figure prend son expression dure des mauvais jours. En effet, une colonne d’au moins quatre cents Allemands et miliciens marche sur la ville de Nontron, libĂ©rĂ©e par les maquisards depuis quelques semaines. Le capitaine Dupuy, commandant le 1er Bataillon de Dordogne‑Nord, signale Ă  l’autre bout du fil que Marthon a Ă©tĂ© dĂ©passĂ© et le barrage du Grand‑Moulin de Varaignes attaquĂ©. Jacques, la figure sombre, passe dans les chambres rĂ©veiller son monde et en quelques mots donne ses ordres pour que chacun se tienne prĂȘt - Vite debout, Antoine ! Il y a alerte, les boches sont signalĂ©s Ă  Varaignes ! J’ai vite fait de m’habiller et, encore mal rĂ©veillĂ©, je retrouve dans la cour tout le monde en tenue de campagne. DĂ©jĂ  les deux diesels ronflent et tournent autour de la pelouse comme pour se mettre en train. Pour le moment nous sommes seulement alertĂ©s, ce qui nous déçoit un peu ; mais nous devons nous attendre Ă  partir d’un moment Ă  l’autre et chacun donne son avis - Encore une alerte Ă  la c... - Si c’est pour ça qu’on nous a rĂ©veillĂ©s... - Moi, ça me tue le germe... Là‑haut, dans le bureau, la sonnerie du tĂ©lĂ©phone retentit de nouveau ; soudain Jacques apparaĂźt Ă  la fenĂȘtre et crie Embarquez !... II est tout juste 7 h 30. Une trentaine de dĂ©signĂ©s, auxquels se joignent les six AmĂ©ricains qui veulent participer au sport », se ruent vers les voitures comme une bande de pirates. Un ordre bref - Antoine, vous ferez la route par le chemin le plus court direction Varaignes. Il y a 15 kilomĂštres environ. Et sous le soleil qui monte au levant nous dĂ©marrons au milieu des braillantes sans nom » et sous le regard dĂ©sap­pointĂ© de ceux qui restent. Nous partons sous une avalanche de merde » retentissants. Le beau temps aidant, tout le monde est surexcitĂ© on chante des chansons patriotiques, on rit, on blague. Cette exaltation n’est cependant pas une vaine fanfaronnade, car les nouvelles sont loin d’ĂȘtre bonnes mais nos types sont gonflĂ©s Ă  bloc et puis... quel idĂ©al les anime!... Les camions filent Ă  toute allure. Jacques fait dire Ă  Antoine de ralentir mais Jean Dick continue Ă  appuyer sur le champi­gnon. Nous traversons quelques villages un peu Ă©tonnĂ©s et troublĂ©s par ces Ă©nergumĂšnes. DĂ©jĂ , sur la droite, Varaignes apparaĂźt tapi dans sa vallĂ©e. Soudain devant nous un civil nous fait signe d’arrĂȘter. C’est un monsieur bien habillĂ©, rosette de la LĂ©gion d’honneur au revers - N’allez pas plus loin. Faites attention, les boches sont au Grand‑Moulin. Jacques remercie cet aimable informateur et ajoute Cela n’a pas d’importance. C’est donc vrai, cette fois nous allons les voir !. Nous repartons, Jean Dick conduit cette fois comme un fou ; les bois sont dĂ©passĂ©s, une descente est amorcĂ©e ; voici la route Nontron‑AngoulĂȘme, derriĂšre la voie ferrĂ©e et la maisonnette du passage Ă  niveau, Ă  quelques mĂštres du barrage. Nous arrivons en trombe sur une personne qui gesticule sur la voie pour nous arrĂȘter. C’est la garde‑barriĂšre qui nous crie ArrĂȘtez‑vous ! ArrĂȘtez ! Vous allez tous vous faire tuer, les Allemands viennent de passer montĂ©s sur deux vĂ©hicules dont un blindĂ©. Ils ont parcouru cinq ou six cents mĂštres en direction de Javerlhac et viennent de repasser, Ă  l’instant. Le barrage est donc forcĂ©. Les camions franchissent le passage Ă  niveau et s’arrĂȘtent. Le chef Jacques attrape vertement Antoine pour s’ĂȘtre engagĂ© Ă  toute allure sur une route qui risquait d’ĂȘtre battue par l’ennemi. Vous m’avez dit d’aller vite et par le plus court chemin Mais la discussion est interrompue par des coups de feu qui partent du moulin et qui semblent donner raison au Chef, car 300 mĂštres de plus et les voitures Ă©taient hachĂ©es par les mitrailleuses ennemies. Un ordre bref Tout le monde en bas, dans les fossĂ©s, vite... En un clin d’Ɠil tous sont Ă  terre et les camions tournĂ©s se replient Ă  l’arriĂšre. Le barrage est Ă  moins de 1 500 mĂštres. Sur la route blanche qui va Ă  La Chapelle‑Saint‑Robert, couchĂ©s derriĂšre les platanes ou abritĂ©s par le parapet du pont sur le Bandiat, nous observons d’oĂč partent les coups de façon Ă  ne pas tirer sur les rescapĂ©s du groupe Manu, qui, aprĂšs avoir dĂ©fendu le terrain pied Ă  pied, se replient faute de munitions. Jacques prend immĂ©diatement la direction du combat et met en place un systĂšme dĂ©fensif. Marc avec quelques Ă©lé­ments, se porte en bordure de la voie. Antoine et Robert le Gendarme, avec un autre groupe, prennent position sur la route, c’est‑à‑dire au centre du dispositif. Jacques avec le reste de la troupe franchira le Bandiat pour se porter sur la rive opposĂ©e. Chacun des groupes dispose d’un F. M. Celui du centre, avec le TatouĂ©, dispose en plus d’un Piat » genre de bazooka. Le drapeau de la collection de la famille Duruisseau Boby avec son F. M. en batterie est abritĂ© par le parapet du pont. Le long du talus les hommes sont plaquĂ©s au sol. Le TatouĂ© en bordure de la route, veille avec son Piat » camouflĂ© derriĂšre un chĂątaignier. Henri avec son F. M. prend la route en enfilade. BientĂŽt quelques coups de feu espacĂ©s hachent les branches qui viennent claquer contre le parapet. Une mitrailleuse lourde lĂąche quelques rafales. Cette fois cela s’annonce sĂ©rieux. Tout Ă  coup Boby, dĂ©signant une soixantaine d’hommes qui courent dans la prairie, hurle Les voilĂ  ! ‑ Ne tire pas encore ; ce sont peut‑ĂȘtre des types du groupe Manu ! lui rĂ©pond Antoine. Faute de jumelles, on ne distingue rien Ă  cette distance. Ils sont en bleu marine. Certains croient mĂȘme voir un brassard tricolore. Une violente rafale nous enlĂšve nos derniers doutes. Jacques Ordonne Feu !, une rafale de Boby en culbute plusieurs. Les autres regagnent prĂ©cipitamment la route et le fossĂ©. Antoine, rage d’impuissance avec sa malheureuse mitraillette qu’il Ă©change bien vite contre le fusil de Baron, pourvoyeur au F. M. de Boby. A son tour il tire et chacun bientĂŽt y va de son coup de feu. A droite le groupe de Robert le Gendarme a recueilli, dĂ©sem­parĂ©, un homme du groupe Manu. Ailleurs, le TatouĂ© et son Piat » violemment pris Ă  partie sont obligĂ©s de se replier Ă  travers champs, c’est au tour du gendarme de dĂ©guster. Tiens, voilĂ  du nouveau... une auto‑mitrailleuse dĂ©bouche sous le couvert des arbres, balaye la route et nous canarde sĂ©rieusement. Les boches invisibles tirent toujours; quant Ă  nous, ne voyant plus rien, nous attendons. Une rafale bien ajustĂ©e vient Ă©corner le parapet du pont Ă  30 cm au‑dessus de la tĂȘte de Boby. Les mortiers entrent en action et appuient boches et miliciens dont nous devinons la manƓuvre d’encerclement. La prolongation de la rĂ©sistance en cet endroit avec une poignĂ©e d’hommes s’avĂšre impossible. Les ont tenu jusqu’à l’extrĂȘme limite en soldats qui savent ce que compte chaque minute en pareille circonstance. Chacun se demande pourquoi les renforts ne sont pas dĂ©jĂ  lĂ  et ce qu’ils foutent » Ă  Nontron et Ă  Saint‑EstĂšphe ? Devant cette carence, Jacques crie Ă  un agent de liaison d’aller chercher le reste de sa troupe Ă  Puycharnaud Tous les hommes, y compris les cuisiniers et les malades ! En attendant, Jacques ramĂšne ses hommes sur une ligne de repli plus solide. Henri reçoit l’ordre de tenir le pont coĂ»te que coĂ»te pendant que le groupe Marc se dĂ©file le long de la ligne du chemin de fer et qu’Antoine et Robert le Gendarme se replient sur la rive gauche du Bandiat pour y prendre une position favorable ». PliĂ©s en deux, rampant dans la poussiĂšre, les hommes quittent le pont. Lorsqu’à mon tour, dit Antoine, je quitte l’abri du parapet je ne me sens pas fier avec ces mouches qui bourdonnent et qui pourraient bien se prendre d’amitiĂ© pour moi. Nous dĂ©gringolons dans la prairie et bondissons Ă  travers le prĂ©, faisant une courte pose derriĂšre un tas de bois. C’est haletants et essoufflĂ©s que nous atteignons le bord de la riviĂšre. Antoine entre dans l’eau Ă  la recherche d’un guĂ© L’eau m’arrive au genou ; je passe le Bandiat. M... ! je suis encore canardĂ©... Je repasse plus loin sur la rive droite. A cent mĂštres derriĂšre, les rafales continuent ; quelques coups de canons aussi mettent leur note profonde sur les crĂ©pitements secs des armes automatiques. Sur l’autre rive, Jacques m’appelle. Il y a au moins deux mĂštres d’eau; je longe toujours le Bandiat dans l’espoir de trouver un endroit favorable. Je traverserais bien, mais mes zĂšbres ne savent pas nager. De l’autre cĂŽtĂ©, Jacques est mauvais » . Une demie‑heure passe; le calme persiste. L’adversaire hĂ©site. TrompĂ© sur leur nombre par la bonne contenance des il n’ose reprendre le contact. Pendant ce temps, Ă  Puycharnaud, les hommes qui s’énervaient dans l’attente ont saluĂ© l’ordre de rejoindre par des cris de joie. Blaireau a presque de la peine Ă  maĂźtriser sa troupe et, quand le convoi s’ébranle, le Grand Puy entonne un La RĂ©publique nous appelle » vite repris en chƓur. Le bruit des mortiers qui tonnent, des mitrailleuses et mĂȘme des qui crĂ©pitent parvient distinctement. La fĂȘte est belle et il y aura du monde ! hurle Dudule. Tous trouvent que le camion ne va pas assez vite, bien que plusieurs virages soient pris sur les chapeaux de roues dans la descente de Javerlhac traversĂ© au chant de la Marseillaise. Tous les habitants tiennent Ă  saluer ces braves petits gars qui vont se faire casser la figure. II y a des gens sur la place, aux fenĂȘtres, sur les portes, tout au long de la route ; et tout ce monde leur crie On compte sur vous ! On y compte si bien que personne ne songe Ă  fuir ; et pourtant le souvenir horrible d’Oradour‑sur‑Glane est encore tout frais dans les mĂ©moires. A la sortie de Javerlhac, un homme du groupe Manu, hallucinĂ© par la vision de ses camarades fusillĂ©s, se replie avec son ayant Ă©puisĂ© ses derniĂšres cartouches. Il semble avoir perdu l’usage de la parole et ne peut rĂ©pondre aux questions des Ceux‑ci le dĂ©chargent de son qu’il est incapable d’utiliser et qui sera un prĂ©cieux appoint Ă  leur armement. ArrivĂ©e du renfort Blaireau en tĂȘte du renfort approche des positions avancĂ©es. La fusillade ralentie pendant un moment, Ă©clate plus vive et plus nourrie ; le canon de 20 par instants couvre de sa grosse voix le bruit des autres armes. Le renfort se divise alors en deux colonnes, une longeant la voie, l’autre le Bandiat. DĂšs que Jacques les aperçoit Vite un F. M. et cinq hommes avec moi. Henri est encerclĂ©; il faut le sortir de lĂ  ! Carte de la bataille de Javerlhac Jean le Cuistot, les deux Delage, Bibendum, le Pompier et Gauvin emboĂźtent le pas Ă  leur chef. Chemin faisant, Jean le Cuistot s’enquiert Sont‑ils nombreux ? ‑ Tu n’entends pas ? Ça ne fait rien, il faut les arrĂȘter quand mĂȘme ! lui rĂ©pond Jacques. Il s’agit de traverser le Bandiat pour se rapprocher d’Henri. Jacques donne l’exemple ; tous le suivent de l’eau jusqu’à la ceinture, ils gagnent l’autre rive oĂč ils prennent position sur une butte tandis que quelques hommes partent en recon­naissance pour voir ce qu’il est advenu d’Henri et de son Pendant ce temps, celui‑ci, restĂ© Ă  son poste, avait continuĂ© Ă  interdire le passage aux boches en faisant mordre la poussiĂšre Ă  pas mal d’entre eux. Cependant, ils avaient rĂ©ussi Ă  con­tourner la position et Henri, se voyant sur le point d’ĂȘtre encerclĂ©, avait dĂ©pĂȘchĂ© un coureur auprĂšs de Jacques pour lui faire connaĂźtre la situation. Le cercle s’étant refermĂ©, le coureur n’avait pu rejoindre Henri et lui annoncer l’arrivĂ©e du secours. ComplĂštement isolĂ©s, ne voulant pas se laisser faire prisonniers avec leur prĂ©cieux Henri et son pourvoyeur tentent un repli Ă  travers bois. Et c’est ainsi que Jacques et sa patrouille virent arriver, essoufflĂ©s, les deux hommes, qui par miracle avaient rĂ©ussi Ă  s’évader de l’étreinte allemande. Jacques, avec ses hommes, profite d’une circonstance favo­rable pour revenir sur les positions prĂ©cĂ©dentes. Avec une trentaine d’hommes, il tient les hauteurs sur la gauche du Bandiat, tandis que le reste de la troupe s’organise sur la rive droite entre la riviĂšre et une sĂ©rie de hauteurs beaucoup moins Ă©levĂ©es et plus difficiles Ă  tenir que celles de l’autre rive. Antoine avec une dizaine d’hommes dont Pierrot Chabasse est Ă  cheval sur la route et la ligne de chemin de fer. Il est appuyĂ© par Marc le TatouĂ© qui avec son Piat guette toujours l’auto­mitrailleuse. Le Bouc installe son sur une hauteur d’oĂč il prend la route en enfilade. Blottis avec quelques hommes du groupe Roy dans les genĂȘts et les buissons, ils attendent l’occa­sion d’ouvrir le feu. Robert le Gendarme et ses hommes sont sur l’autre versant, Ă  l’extrĂ©mitĂ© du dispositif ; quelques hom­mes ont pris position dans un petit bois Ă  flanc de coteau. C’est sur ce point que la fusillade qui s’était ralentie depuis un moment Ă©clate de nouveau, soutenue et nourrie. Nouvelle attaque ennemie Quelques balles recommencent Ă  siffler prĂšs de la route oĂč nous sommes. Une moto arrive de l’arriĂšre c’est Emile qui fait la liaison Alors quoi de neuf, mon petit Antoine ? Rien, ça gaze, on attend... » Il est gonflĂ©, ce bougre d’Emile, de se balader ainsi sur la route. Le Bouc tire par moments. A notre droite Ă©clate encore la fusillade. Nouveau repli de quelque 40 mĂštres en arriĂšre. Le Bouc et son F. M. se retirent les derniers, appuyant la retraite, pendant que le gros de la troupe prend place sur une crĂȘte. Nous tenons cette fois deux ponceaux celui de la route et celui de la voie. A droite Robert le Gendarme et son groupe, planquĂ©s derriĂšre des gerbes et des haies, attendent aussi. A notre gauche quelques coups de feu isolĂ©s. BientĂŽt c’est le silence complet. En face ces messieurs se tĂątent. Bon Dieu, qu’il fait chaud... ! Les maquisards viennent de manƓuvrer en retraite sur une distance d’environ 2 kilomĂštres en combattant quatre heures consĂ©cutives. La situation n’est pas belle pourtant elle n’est pas catastrophique. L’arrivĂ©e d’un renfort pourrait permettre de reprendre l’initiative. La liaison avec Jacques est rompue et les forces maquisardes combattent isolĂ©ment en deux groupes. NĂ©anmoins, des deux cĂŽtĂ©s, sur leurs nouvelles positions les hommes se prĂ©parent. Une volontĂ© farouche les anime malgrĂ© la vaine promesse d’un renfort qui n’arrive jamais. Ils savent que, si les boches rĂ©ussissent Ă  passer, ils assouviront leur furie sur les civils et les villages de la zone libre... Accalmie relative 10 heures Des hauteurs qu’il occupe Jacques observe le champ de bataille. Un silence impressionnant et qui n’annonce rien de bon plane maintenant sur le lieu du violente odeur de poudre atteste la quantitĂ© considĂ©rable de munitions dĂ©pensĂ©es par les boches qui font la guerre en grands seigneurs ». - Certainement qu’ils combinent un sale coup, murmure quelqu’un. - Oui, rĂ©pond Jacques, et je crois que nous ferons bien de ne pas rester lĂ  comme des aveugles Ă  les attendre. Joignant les actes aux paroles, il dĂ©signe deux patrouilles qui avanceront le plus possible pour se rendre compte de ce que les boches prĂ©parent. La premiĂšre s’engage dans l’intĂ©rieur des terres, sur le coteau. Jean le Cuistot et François sont accompagnĂ©s par un civil qui leur servira de guide. Il est d’origine polonaise ; tout de suite il demande une arme ; mĂ©fiant François la lui refuse ; mais il ne tardera pas Ă  s’apercevoir que c’est un type rudement gonflĂ© » quelques jours plus tard, il sera du reste admis dans les ; il s’agit de Potazuck [Le Polak]. La deuxiĂšme patrouille avec DĂ©dĂ© Delage, Baron, Bibendum et Boby a reçu l’ordre de progresser de butte en butte jusqu’à ce qu’elle prenne contact avec l’ennemi. DĂ©dĂ© Delage marche en Ă©claireur jusqu’au petit village de la MĂ©nardie qui domine toute la vallĂ©e du Bandiat. LĂ , Boby et Baron se mettent aussitĂŽt en devoir de construire avec des pierres un emplacement pour leur pendant que Bibendum les couvre sur leur gauche et que DĂ©dĂ© Delage pousse en avant pour repĂ©rer l’adversaire. Profitant des cheminements et du moindre couvert, celui-ci s’éloigne de plus de 800 mĂštres du qui ne peut plus le protĂ©ger ; il se sent terriblement seul » ; mais poursuit nĂ©anmoins sa route et se trouve Ă  la lisiĂšre d’un bois ; devant lui un champ de topines » et de l’autre le pont, sans doute occupĂ© par les boches. Il avance encore, dissimulĂ© par les rangĂ©es de topinambours ; de temps en temps il s’arrĂȘte et Ă©coute... il entend le bruissement du vent Ă  travers les feuilles et surtout... les battements de son cƓur. A un moment donnĂ©, il distingue des voix gutturales allemandes et des commandements français et comme bruit de fond le ronronnement de camions qui s’approchent, au ralenti. DĂ©dĂ© Delage avance encore ; deux rangs de feuillage le sĂ©parent seulement de l’orĂ©e du champ et lui cachent la vue. Il les Ă©carte, une rafale tirĂ©e Ă  moins de 50 mĂštres arrache les feuilles au‑dessus de sa tĂȘte et le plaque au sol. AndrĂ© a eu chaud, mais cette fois il sait » et il se replie prĂ©cautionneusement pour ne pas agiter les sommets des tiges qui dĂ©cĂšleraient sa prĂ©sence ; avec des ruses de Sioux il atteint enfin la MĂ©nardie oĂč ses trois camarades fort inquiets sur son sort sont aussi heureux de le revoir que d’accueillir les renseignements qu’il apporte. Pour parer au danger qui se fait plus pressant, Baron et Boby restent avec leur au poste qu’ils ont amĂ©nagĂ© ; Jean le Cuistot et le grand Robert placent le leur derriĂšre un mur parallĂšle Ă  la route ; Gauvin et François s’installent Ă  cĂŽtĂ© d’eux. Bibendum reste Ă  son poste de surveillance et DĂ©dĂ© Delage assure la protection sur la droite des derriĂšre une muraille clĂŽturant un prĂ© qui descend en direction du Bandiat. Les positions prises, chacun se sent plus rassurĂ©. Maintenant on peut les voir venir... ». Sur l’autre rive, Antoine est accroupi derriĂšre le garde‑fou mĂ©tallique prĂšs du ballast. La ligne est droite sur 200 mĂštres environ ; Ă  gauche la route en contrebas, et quelques hommes dans les fossĂ©s dont Marc, Jackye, Roy, Pierrot Chabasse avec son mousqueton bulgare ; Ă  droite, de l’autre cĂŽtĂ© du remblai, une petite vallĂ©e pour l’instant tout est tranquille. Robert le Gendarme avec le reste de la troupe tient le coteau. La liaison avec ce groupe reste assurĂ©e. TrĂšs loin devant nous, par instant, des groupes d’hommes dĂ©filent amis ou ennemis ? sans jumelle on ne peut prĂ©ciser. Laissons‑les approcher. Le pĂšre Roy, quelques mĂštres derriĂšre moi, est tapi contre les rails, le mousqueton prĂȘt Ă  faire feu. Ils » approchent prudemment, les salauds ; ils n’ont pas l’air trĂšs combatifs. Nous entendons des Ă©clats de voix, des gueulantes » en allemand et français des miliciens puis un bruit de moteur dont le ronflement grandit. Tiens, tiens, qu’est‑ce qu’ils foutent » ceux‑lĂ  sur la voie ? Une dizaine d’hommes en bleu marine approche prudemment le long de la ligne. Je fais signe au pĂšre Roy il a vu aussi. Laissons‑les approcher encore... » Clac ! un coup de mousqueton du pĂšre Roy m’assourdit l’oreille droite. Je vise mon bonhomme soigneusement et pan !... il culbute la tĂȘte la premiĂšre sur le gravier du chemin de ronde; je vise maintenant le groupe qui s’avance un deuxiĂšme tombe et s’agite Ă  terre comme un hanneton. Quelques silhouettes se faufilent Ă  droite du remblai; le pĂšre Roy les oblige Ă  se planquer. Je tire toujours, mais mon tir est imprĂ©cis et je ne peux pas en savoir le rĂ©sultat. Maintenant, la voie est dĂ©serte; de temps en temps une silhouette furtive se glisse derriĂšre une haie et disparaĂźt. A droite la fusillade reprend de plus belle; des rafales partent de l’autre cĂŽtĂ© du remblai, juste Ă  ma hauteur. J’hĂ©site un bon moment avant de lancer une grenade. Ce sont peut‑ĂȘtre des copains, embusquĂ©s dans le creux de la vallĂ©e. Le tir est toujours violent, le crĂ©pitement aigre des mitraillettes domine le concert. Tant pis je me mets debout et vlan... ! la grenade dĂ©crit une longue parabole et disparaĂźt de l’autre cĂŽtĂ© du remblai. Deux secondes se passent et une violente explosion arrĂȘte, d’un coup, la fusillade. Devant, maintenant, personne Ă  l’horizon ; sur la route, Ă  ma gauche, un ronflement indique l’approche de l’auto‑mitrailleuse. Le pont oĂč je suis semble ĂȘtre la cible en vogue. Ils tirent trop haut heureusement les fils tĂ©lĂ©graphiques tombent, tranchĂ©s net, des balles font ricocher les cailloux du ballast, les feuilles des arbres voisins sont lacĂ©rĂ©es et d’en bas, sur la route, la voix de Pierrot Chabasse crie Attention ! voilĂ  l’auto‑mitrailleuse qui avance !... » Son mousqueton bulgare claque sec. Nouvelle tentative de percĂ©e 12 heures Une accalmie relative prĂ©lude Ă  un nouvel assaut. Chaque combattant serre nerveusement son arme en scrutant le sont lĂ , tapis dans les moindres replis du sol. MalgrĂ© leur expression mĂąle, les visages reflĂštent le petit serrement du cƓur et l’angoisse qui Ă©treint chacun. Anxieux, il attendent sur ce petit coin paisible de Dordogne oĂč plane un silence de mort. Le tir de harcĂšlement qui reprend ne tarde pas Ă  dĂ©celer que l’ennemi entend porter son effort sur sa gauche, vers le groupe Antoine‑Robert le Gendarme oĂč le terrain se prĂȘte moins facilement Ă  la dĂ©fense. Ceux qui sont sur la crĂȘte aperçoivent bientĂŽt des miliciens encadrĂ©s d’Allemands circuler en fouillant taillis et bosquets. Un coup de feu avertit ceux de la vallĂ©e que l’ennemi tente sa percĂ©e de leur cĂŽtĂ©. En quelques secondes les armes automatiques et individuelles se remettent Ă  cracher. Les nĂŽtres dĂ©fendent le pont Ă  tout prix l’ennemi veut s’en emparer. On ne se distingue plus dans la fumĂ©e. Les Ă©clatements assourdissent attaquants et attaquĂ©s qui se fusillent Ă  bout portant. AprĂšs cet assaut, un silence angoissant plane Ă  nouveau sur la vallĂ©e. Ceux du coteau, inquiets, ne peuvent rien voir ; craignant que le pont ne soit tombĂ© entre les mains de l’ennemi, Robert le Gendarme poste deux hommes avec un au sommet d’une cĂŽte pour protĂ©ger son repli. Sur le pont seul Ă  prĂ©sent, Ă©crit Antoine, j’essaie de percer le rideau d’arbres qui me cache la route dans une Ă©claircie de feuillage je dĂ©couvre, Ă  une vingtaine de mĂštres, l’engin qui canarde tour Ă  tour la route et la voie. De l’endroit oĂč Ă©tait Pierrot il y a un instant une rafale de mitraillette se fait entendre. InterloquĂ©, j’écoute rien ... Je commence Ă  ne plus ĂȘtre trĂšs fier ‑ Qui est lĂ  ? ... » Personne ne rĂ©pond. Pas trĂšs rassurĂ© je me retire Ă  mon tour quand une volĂ©e de balles balaye l’endroit que je viens de quitter. Dans la ferme, les gens ne sont pas rassurĂ©s du tout, et derriĂšre nous sont les premiĂšres maisons de Javerlhac. Que faire ? ... rĂ©sister encore dans les maisons ? ... C’est exposer les gens aux reprĂ©sailles terribles des boches. D’ailleurs, Jacques a recommandĂ© de ne pas se battre dans les agglomĂ©rations. BĂ©bert est dĂ©jĂ  parti; avec le Bouc nous empruntons un chemin suis tellement crevĂ© », j’ai faim, j’ai soif, j’ai chaud. Mes chaussures mouillĂ©es, envahies par le sable du chemin, m’irritent diablement les pieds. Je suis furieux et vexĂ© de partir ainsi. Le Bouc se traĂźne pĂ©niblement. Il a perdu son pourvoyeur et porte son arme inutile pour l’instant. Le chemin est interminable. Je pense avec amertume Ă  notre infĂ©rioritĂ©. Pour terminer la fĂȘte, un mouchard nous survole maintenant ; il passe bas, peut-ĂȘtre 50 mĂštres ; de rage je lui lĂąche un coup de fusil. A son tour, Robert le Gendarme, ses hommes regroupĂ©s, traverse le barrage de feu ; les autres suivent Ă  intervalles irrĂ©guliers. A peine arrivĂ© au sommet du talus, dominant la voie ferrĂ©e et la route il aperçoit trois hommes Ă  une vingtaine de mĂštres plus bas Eh ! les gars avez‑vous dĂ©crochĂ© ? Les trois hommes ne rĂ©pondent pas. Ce sont des miliciens ! crie Marcou. Ceux de l’autre rive se rendent compte qu’Antoine et Robert le Gendarme sont, avec leurs hommes, en sĂ©rieuse difficultĂ©. Jean le Cuistot dĂ©cĂšle une mitrailleuse qui les harcĂšle sur la voie ferrĂ©e. Tu la vois ? dit‑il Ă  son voisin le grand Robert. ‑ Non. ‑ Eh bien, regarde oĂč je tire. ‑ Fais pas le couillon, tu vas nous faire repĂ©rer ! ‑ Nous ne pouvons tout de mĂȘme pas laisser dĂ©molir les copains comme ça! ... En effet, la crĂȘte de la MĂ©nardie n’a pas encore Ă©tĂ© mitraillĂ©e; tout l’effort des Allemands s’est portĂ© sur leur gauche. Pourtant Jean le Cuistot ponctue sa derniĂšre rĂ©ponse d’un coup de F. M. suivi d’une courte rafale qui rĂ©duit la mitrailleuse au silence. ‑ Tu as vu ? dit‑il Ă  Robert. ‑ Un de moins ! rĂ©pond celui‑ci tout heureux. La bagarre se poursuit toujours aussi intense. Depuis plus d’une demi‑heure les armes crachent et brĂ»lent aux mains. François tire sans arrĂȘt. La MĂ©nardie subit Ă  ce moment le feu violent de deux canons de 20 et de quatre mitrailleuses. Le marronnier lĂąche sur Jean le Cuistot et le grand Robert des branches grosses comme le vĂ©ritable pluie de feuilles assure leur camouflage. Boby voit les pierres de son abri, si soigneusement Ă©difiĂ©, s’en aller une Ă  une sous la mitraille. Le crĂ©pi du mur de la ferme voltige en poussiĂšre. Trop haut ! crie Jean le Cuistot qui, lui, fait mouche ! De minute en minute la MĂ©nardie devient intenable. Ah! si chaque homme avait son Bren ! Pour ne pas ĂȘtre encerclĂ©e la petite troupe doit se replier elle aussi, satisfaite cependant d’avoir stoppĂ© le convoi. Au coup de sifflet le repli, s’effectue en ordre. Cent mĂštres plus loin, c’est la rencontre avec Blaireau. Les voilĂ  seize maintenant ; il n’en faut pas davantage pour leur remettre l’esprit Ă  la blague, d’autant plus que Jacques est en arriĂšre avec un Personne ne sent plus le poids de l’effort qu’il fournit depuis le matin, ni le criaillement de son estomac qui crie famine. Dernier recul 15 heures MalgrĂ© toutes les raisons qu’il cherche Ă  se donner, Jacques enrage de ne pouvoir rien faire pour encercler les ennemis. Avant d’abandonner la partie, il se raccroche Ă  un dernier espoir. Trois volontaires sont expĂ©diĂ©s Ă  La Chapelle-Saint‑Robert chercher du secours. La mission est pĂ©rilleuse ; les risques de tomber sur les boches sont grands. Blaireau, DĂ©dĂ© Delage et le grand Pierrot partent immĂ©diatement par le plus court chemin. Ils rencontrent deux hommes du pays armĂ©s de fusils de chasse qui dĂ©clarent que les boches occupent maintenant La Chapelle‑Saint‑Robert. Prudemment, nos cinq hommes pĂ©nĂštrent dans le bourg. Un habitant leur assure que les boches, non seulement n’occupent pas le village, mais en sont Ă  200 mĂštres. Le maire, un fusil Ă  la main, survient Ă  son tour. Antoine et sa troupe sont dĂ©jĂ  Ă  Javerlhac qui est dĂ©sert ; personne dans les rues. Sur la route principale nous retrouvons quelques camarades qui, isolĂ©s, ne savent oĂč aller. Que sont devenus les copains ? DerriĂšre nous les rafales se succĂšdent, ponctuĂ©es de coups de canons et d’éclatements de mortiers. Devant, un blessĂ© avec une balle dans l’épaule. La soif nous dĂ©vore. Devant une maison une brave femme nous distribue des biscuits et des petits‑beurre. Elle nous offre du vin, un vin clairet appĂ©tissant et fruitĂ©. Mais il faut partir Ah! mes braves petits gars, faites attention! » Javerlhac va‑t‑il ĂȘtre abandonnĂ© ? Je suis complĂštement assommĂ©, Ă©crit Antoine. Il fait une chaleur terrible et pas un souffle de vent. Nous mangeons du pain et du fromage que nous apportent des gens. Dans la vallĂ©e les coups de feu se sont tus, des rafales Ă©loignĂ©es et sans suite rĂ©sonnent encore de temps Ă  autre. Retour offensif 17 heures Une fois de plus, le petit paquet d’hommes se prĂ©pare Ă  se porter Ă  la rencontre de l’ennemi. Des patrouilles sont poussĂ©es Ă  nouveau dans la direction de Javerlhac. Le Chef prend la tĂȘte de l’une d’elles et, suivi de Bidendum, Pivois, et Ministre, avance dans Javerlhac qui pourrait avoir Ă©tĂ© occupĂ©. Ils arrivent rĂ©solument sur la place, le pont lui-mĂȘme est rapidement franchi. Une vieille femme qui est restĂ©e seule, barricadĂ©e dans sa maison, montre son nez et dit que les boches ne se sont pas aventurĂ©s dans ce coin. Sur la place quelques habitants prĂ©tendent mĂȘme que l’ennemi se retire sur AngoulĂȘme et font fĂȘte Ă  leurs dĂ©fenseurs ; c’est Ă  qui leur apportera un petit quelque chose qui puisse les rĂ©conforter. La joie renaĂźt aussi chez les hommes. Avec une vingtaine d’hommes Jacques part en direction du barrage du Grand‑Moulin. Prudemment, les longent les fossĂ©s. Les deux derniĂšres maisons de Javerlhac ont Ă©tĂ© pillĂ©es, preuve que les boches sont venus jusque‑lĂ . Devant eux le silence qui pĂšse sur la campagne leur fait se demander si les Allemands sont bien partis ou s’ils font seulement semblant. L’avance est poursuivie ; partout on suit Ă  la trace l’ennemi en retraite. Compagnie de Ă  Puycharnaud LĂ  des boĂźtes de conserve et du pain attestant que le ravitaillement a Ă©tĂ© meilleur que chez les ; plus loin, des pansements imprĂ©gnĂ©s de sang font dire au capitaine Jacques qu’ici il y en a qui ont dĂ» comprendre leur douleur ». Ailleurs, ce sont des douilles vides et des munitions ; leur amoncellement tĂ©moigne du sĂ©rieux de la lutte ; les hommes s’arrachent tous ces dĂ©bris en guise de souvenirs. L’équipe de la MĂ©nardie retrouve avec une joie doublĂ©e d’une lĂ©gitime fiertĂ© l’emplacement marquĂ© par des dĂ©bris de bois et de verre oĂč elle a stoppĂ© les camions que les Allemands ont pu malheureusement remorquer [L’ouvrage de M. Leproux est excellent. Il sait admirablement reproduire l’atmosphĂšre du combat. Avec lui le lecteur n’en perd aucun Ă©pisode, entend les cris des combattants et sent mĂȘme l’odeur de la poudre. Cependant, Ă  ne se baser que sur les rĂ©cits de ceux qui sont aux premiĂšres loges, on peut commettre certaines erreurs. Ainsi, dans le rĂ©cit du combat de Javerlhac, oĂč les le 24 juillet 1944, ont Ă©tĂ© formidables, il juge sĂ©vĂšrement un certain capitaine dont il ne donne pas le nom. Ce capitaine c’est Dupuy, commandant du 1er Bataillon, qui a donc Jacques sous ses ordres reproche Ă  cet officier de s’ĂȘtre prĂ©sentĂ© sur les lieux du combat dans une tenue impeccable », d’avoir promis Ă  Jacques l’appui de centaines de combattants puis d’ĂȘtre reparti sur Nontron. Quel plus bel Ă©loge de ce chef ?.Dupuy n’a commis aucune faute, bien au contraire. Le matin, apprenant l’attaque, il part immĂ©diatement, prenant la route, il entend le sifflement des balles et voit Jacques. Que doit‑il faire ? Évidemment pas lui faire connaĂźtre ses difficultĂ©s , celles qu’il va avoir Ă  rĂ©unir les renforts annoncĂ©s et surtout Ă  les acheminer. Ils sont Ă©parpillĂ©s sur 30 ou 40 kilomĂštres par petits groupes, presque sans moyens de transport. Le devoir essentiel du chef qu’était Dupuy Ă©tait de faire preuve de calme et de donner confiance Ă  Jacques, son subordonnĂ©, en lui annonçant qu’il allait ĂȘtre soutenu. De tout cela, les combattants qui n’ont comme objectif que leur ligne de mire et le boche qui est au bout, ne peuvent se rendre compte. Et puis, surtout, ce sont des soldats français, donc des grognards rouspĂ©teurs par principe... On les laisse seuls, sans appui face Ă  un ennemi dix fois plus nombreux et mieux armĂ©... l’officier au bel uniforme est un lĂącheur! Ah ! s’il avait pris un fusil lui aussi ! ce serait sans doute un frĂšre; mais tel n’était pas le devoir du chef de Bataillon qui devait revenir Ă  son et donner ses ordres. Reprise du terrain perdu 18 heures Le groupe atteint le pont oĂč a eu lieu la premiĂšre escarmouche ce matin Ă  8 heures. BientĂŽt c’est la vision d’un homme du groupe Manu qui est lĂ  Ă©tendu, un trou Ă©norme dans le crĂąne ; avec prĂ©caution, son horrible blessure est recouverte d’un mouchoir. Enfin, le barrage est atteint. LĂ  deux camions de 5 tonnes ont le moteur complĂštement dĂ©truit; mais la grange qui servait de poste de garde brĂ»le et une Ăącre colonne de fumĂ©e s’élĂšve dans le ciel clair de cette radieuse journĂ©e d’étĂ©. Une minute de silence est observĂ©e devant d’autres corps qui ont trouvĂ© la mort Ă  cet endroit. Au loin, vers Feuillade et Marthon, la fusillade crĂ©pite par instant les boches, de dĂ©pit, arrosent les civils dans la traversĂ©e des villages. Jacques rage de ne pouvoir les poursuivre. Jacques dĂ©cide alors de revenir vers le Grand‑Moulin ; lĂ  aussi les boches se sont comportĂ©s selon leur maniĂšre habituelle. M. Dauvergne, un sympathisant, a Ă©tĂ© battu avec fureur; sa femme a Ă©tĂ© martyrisĂ©e. Pendant ce temps, Robert le Gendarme et ses hommes, sans carte et sans boussole, s’étaient repliĂ©s un peu Ă  l’aveuglette. La fatigue ravage leurs figures Sur leur visage bronzĂ© oĂč la sueur a dĂ©layĂ© la poussiĂšre, de longues traĂźnĂ©es brunes s’allongent ; au coin de leurs lĂšvres la bave sĂ©chĂ©e par le soleil forme des lignĂ©es blanchĂątres et tout cet ensemble leur donne des faces carnavalesques et effarantes. Dans la ferme oĂč ils se reposent, soudain des voix se font entendre. Tous se prĂ©cipitent sur le seuil et voient arriver Max et ses camarades qui, encerclĂ©s dans la ferme, aprĂšs cinq heures de lutte ont rĂ©ussi Ă  se dĂ©gager. On se serre les mains, on s’embrasse, tous veulent parler Ă  la fois pour exprimer leur joie. Victoire Au soleil de juillet, 19 heures Les camions des divers groupes du secteur sont arrivĂ©s amenant des chargements de maquisards. Les F. T. P. ont mis un canon anti‑char en batterie prĂšs de la gare de Varaignes ; une foule occupe maintenant la vallĂ©e. C’est bien le moment d’arriver... Les chants de victoire retentissent de et ses hommes, Ă©puisĂ©s par leur rude journĂ©e, laissent la place Ă  ceux qui savent si bien fĂȘter la victoire et, rompus de fatigue, cherchent un coin pour prendre un peu de repos. Dans le jour qui descend nous nous installons sur les hauteurs voisines. Une note de Rac nous permet de situer l’affaire par rapport Ă  l’ensemble des opĂ©rations. Situation gĂ©nĂ©rale Elle se prĂ©sentait le 24 au matin de la façon suivante Attaque ennemie en direction Javerlhac‑Nontron. Menace d’attaque en direction de Thiviers 3e Bataillon alertĂ©. Menace d’attaque en direction de Dournazac‑ChĂąlus se prĂ©cisant dans la matinĂ©e 2e Bataillon alertĂ© appuyĂ© par rĂ©serves alertĂ©es partiellement. Mesures prises Lorsque la Compagnie Manu fut sur le point d’ĂȘtre dĂ©sorganisĂ©e par la violence du choc ennemi sur Javerlhac, le Commandant du 1er Bataillon fit appel Ă  la unitĂ© qui n’entrait pas dans le systĂšme dĂ©fensif Ă  cause de ses missions spĂ©ciales de sabotage. Le Commandant de secteur, tenu au courant de la situation critique devant Javerlhac, dĂ©cida de prĂ©lever dĂšs le dĂ©but de l’aprĂšs‑midi des renforts sur le 3iĂšme Bataillon oĂč la menace sur Thiviers semblait provisoirement renforts difficiles Ă  regrouper toutes les troupes Ă©taient en effet en place lents Ă  se mettre en route mauvais Ă©tat des vĂ©hicules n’arrivĂšrent Ă  Javerlhac que dans la soirĂ©e du 24 juillet. Maintenant n’oublions pas l’action de Roland Canva, en place en fin de matinĂ©e, de Brachet et de Bersas avec les Ă©lĂ©ments du 1er Bataillon. Le boche, les ayant tĂątĂ©s, dĂ©cida d’abandonner son attaque. Javerlhac 24 juillet 2016 - JournĂ©e de souvenir et inauguration d'une plaque Ă  JommeliĂšres lien 24 juillet 2014 CommĂ©moration du 70e anniversaire de la bataille de Javerlhac lien VidĂ©o de la commĂ©moration en 2013 Lien Photos d'une commĂ©moration rĂ©cente prises par Jacques Hesault Lien StĂšles commĂ©morent la bataille de Javerlhac du 24 juillet 1944 Lien English version - 24 July 1944 In the early hours of the 24th of july 1944 more than four hundred German soldiers and the Milice were en route to Nontron. Their objective is to re-take the town and burn it to the ground, Nontron had been liberated by the maquis since June. The German trucks had been seen taking the road from AngoulĂȘme towards Javerlhac. A road block is set up at dawn at Varaignes 2 miles from Javerlhac by about thirty maquisards from the groupe Manu, part of the 2e Brigade Rac. Just after 7 in the morning the german trucks are just a few miles from Javerlhac and are spotted by Roger Dugas who is placed as a sentry before the road block. He opens fire on the Germans as they drive along the route. He kills several Germans and the Chef de la Milice. In the skirmish that follows Dugas is shot and killed. Manu’ and his men are now faced with holding back four hundred Germans. Henry Delaret and Roger Lapeyronnie are caught by the milice and shot on the spot. Manu’ gives the order for his men to retreat and he stays behind armed with a sack of grenades. Eventually the milice encircle him and after and hour of interrogation and torture he is killed. Even the Germans turn away at the brutal scene. Manu’ – Manuel AcĂ©bĂšs was born in the Basque region of Spain and moved with his family to Bordeaux in 1911 when he was 3 years old. He was a cabinet maker by trade and in 1944 formed the RĂ©sistant group Radio’ and set up camp in the woods of Picpeyrou near Javerlhac in the Dordogne. He was positioned well to warn the maquis at Nontron of any German movements in the area. Manu’, Espagnol par le sang, mais Français par le Coeur, est mort ce matin-lĂ  en hĂ©ro’s d’épopĂ©e. One of his groupe Pierre Fauconnet Flin’ returning from requesting reinforcements falls into the hands of the enemy and is killed. It is now 9h in the morning and fighting is taking place around Le Gd. Moulin. The Germans take over the village of Le Cousset, and totally outnumbered, the maquisards are pushed back. Intent on reaching Nontron by nightfall the Germans push back the maquis to the entrance of Javerlhac. All seemed lost when reinforcements arrived and the situation is turned around. Jacques Nancy, stationed at the Section SpĂ©ciale de Sabotage HQ at the chateau at Puycharneau near to PiĂ©gut 19 kms away had received a message from capitaine Dupuy 1er bataillon AS Dordogne-Nord to get to Javerlhac. He rounds up thirty of his men and six American soldiers one of them is Herbert Brill that are stationed with them, jump in some trucks and drive like madmen to get to Javerlhac. Jean Dick is driving one of the trucks, foot hard on le champignon’ and everyone in the back is singing patriotic songs and laughing and joking to ease the tension as they drive towards a head on battle with four hundred Germans. As they approach Varaignes they are flagged down by a civilian wearing a rosette de la lĂ©gion d’honneur who warns them to go no further as les boches are at Le Grand Moulin. They continue towards the barricades that the Groupe Manu had set up earlier and a railway worker shouts out to them “Stop, stop, you’re going to get killed, there are Germans coming in two armoured vehicles five or six hundred metres away direction Javerlhac”. They jump out, strengthen the barricade and start to attack the Germans as they come closer. Amongst those in the attack are Jacques, Marc, Antoine, Robert le Gendarme and le tatouĂ© with his Piat’ bazooka. The Germans are continually firing on them. Jacques decides to send for all of his men left back at Puycharneau including les cuisiniers and les maladies! Reinforcements arrive. En route they sing La Marseillaise’ and civilians seeing them salute them. The reinforcements include Blaireau, Jean le Cuistot, the two Delages, Bibendum, le pompier and Gauvin. A lot of the men wade across the river Bandiat, water up to their belts and take position on the other side of the bank. The Germans push forward and the maquisards are forced back 2 kms, all is not looking good. The groupe maquis attack from the right and slowly the Germans and Milice begin to get pushed back. When they are back to the two trucks left at the roadblock they set them alight. At this point a civilian originally from Poland who is acting as a guide for Jean le Cuistot and François asks for a weapon so he can help. Not sure what to do François says no. A few days later this chap turns up at their HQ at Puycharneau and joins the his name is Potazuck Le Polak’. Fierce fighting goes on the whole day but by 18h all ground lost is regained and a minutes silence is held for Delerat and Lapeyronnie as their bodies are found near the initial roadblock. At 19h the Germans abandon their attack and as they leave they set fire to a school and some other buildings at Mainzac and shoot at any civilians they see. Fifty six Germans and Milice were killed during the combat, the heaviest loss for them in the PĂ©rigord during the Occupation. Radio Vichy broadcasted that day that a German column had entered Nontron described by them as le capital du maquis. In reality the Germans had lost the combat , burnt and pillaged houses along the route of Varaignes and Javerlhac and thanks to Jacques Nancy, the the Groupe Manu and other members of the brigade Rac, the Germans could not get through to Nontron. Five RĂ©sistants lost their lives that day – Roger Dugas, aged only 20 Roger Lapeyronnie also aged 20 Each year on the 24th of July a commemoration is organised by l’Amicale des anciens rĂ©fractaires et CVR Javerlhac-Marthon and held at the different locations along the Route DĂ©partmentale 75 where the rĂ©sistants fell and are marked by monuments stĂšles. Also visited is the stĂšle of Roger Laville, agent de transmissions de la 2e compagnie de la brigade Rac, who died in a motorcycle accident near to Souffrignac on the 6th july 1944 and the plaque in honour to Henry Marchadier of la Section Special de Sabotage who died the following day. Each year nearly two hundred people attend the ceremony which usually starts at and ends up at the Monument aux Morts by mid-day. DVD et tapis de souris du film "Les Saboteurs de l'Ombre et de la LumiĂšre" lien

Rienne dure Au-dessus de la ceinture Non, pas sur la bouche Je sais, je touche Le fond du lac Le temps des cerises est mort Le diable est dans le corps Non, pas sur les lĂšvres Non c'est pas miĂšvre C'est pas le trac Mais je prĂ©fĂšre me donner crue Sans revers, ni refus Rendons nous Ă  l'Ă©vidence Tout est cuit d'avance Mieux vaut pas tenter sa chance Rien ne dure Au-dessus de la Contente de vous faire rire ,mĂȘme involontairement , çà m'enchante d'Ă©veiller en vous cela ! A dĂ©faut d'ĂȘtre intelligente , de pas comprendre se que vous dites , j'ai au moins cette qualitĂ© , grĂące Ă  vous mes nuits seront meilleures , quelle bĂ©nĂ©diction de vous avoir croisĂ© sur mon chemin ....GrĂące Ă  une tite bite oups ....ma puĂ©rilitĂ©....c'est plus fort que moi , dĂ©cidĂ©ment je suis incorrigible lolPar contre , çà me chagrinne , mais je vous trouve toujours pas drĂŽle mince quand mĂȘme ; toujours pas une once d'humour ne transpire dans vos Ă©crits , Allez un p'tit effort .... C'est la teubĂ© qui vous le demande Rienne dure Au dessus de la ceinture Non pas sur la bouche Je sais c'est louche Puisque ma peau A l'odeur de ton odeur Au dehors il fait chaud Non pas sur les lĂšvres Jamais de trĂšve Et
"Enfants de la lune" "On vient d'lĂ  oĂč y a trop d'brume" "Nos rĂȘves se brisent" "LĂ  oĂč la route est floue" "On grandi Ă  contrecƓur" "LĂ  oĂč on s'nourrit de rancune" "Bienvenue" "LĂ  oĂč l'espoir se consume" [Soprano] J'viens d'lĂ  oĂč les cafards ont des buildings LĂ  oĂč Otis pousse ma mĂšre Ă  faire du body-building LĂ  oĂč les petits n'vont plus en classe, passent leur temps Ă  rouler Et avancent avec un joint de culasse La routine comme seul passe-temps LĂ  oĂč les flics te passent les menottes Ă  chaque fois qu'tu tue l'temps LĂ  oĂč on s'serre la ceinture pour ĂȘtre bien sapĂ© LĂ  oĂč on prĂ©fĂšre ĂȘtre Ze Pequeño que BuscapĂ© LĂ  oĂč des Ronaldihno s'blessent avant d'ĂȘtre pros LĂ  oĂč la colo s'appelle mandat de dĂ©pĂŽt LĂ  oĂč l'alcool sert Ă  s'noyer LĂ  oĂč on croit qu'l'amour n'est qu'un mouvement de poignet LĂ  oĂč la guigne t'fait la bise en t'faisant les poches LĂ  oĂč pour s'enterrer nos dualitĂ©s servent de pioches Chez nous l'sourire est mal agrippĂ© Ă  nos lĂšvres Et nos virĂ©es en motos s'transforment en cortĂšge funĂšbre [Alonzo] Sueurs froides, c'est parce que les gens ont changĂ© qu'on s'parle plus Qu'on communique avec tant d'choses sauf avec la bouche Le disque, la seule langue en quoi j'pourrais vous parler Sans vice, pin-up, bien sĂ»r sans pourparlers On est la couche, qui sĂ©pare la maigreur de l'obĂ©sitĂ© Car on est entre Zola, et on sait pas ce qu'on veut Être un vaillant ici ou de l'autre cĂŽtĂ© Les titulaires de la bĂȘtise sont mis en doute Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit Tu crois savoir comment c'est dur ici Si tu savais vraiment, ignorant, c'qu'on vit Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit L'amour nous course, sans prendre de caddie Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit [Vincenzo] J'ai pourtant criĂ© tout haut, ce qu'certains pensaient tout bas Tu sais, dure est la vision de voir comme un oiseau d'en bas Dur d'planer sans l'effet d'l'herbe et l'shit Tout comme mes gars amateurs d'grosses caisses et de parties de chatte MalgrĂ© mes dĂ©fauts, j'reste celui qui dĂ©fie les dĂ©fauts de la vie J'te parle du systĂšme et de ceux qu il ennuie J'te parle des maillons faibles qui haussent le ton Avance avec le temps comme ces feuilles mortes oĂč se dirige le vent J'remercie le bon Dieu d'ĂȘtre encore vivant MalgrĂ© des coups passĂ©s chers qui allaient me coĂ»ter la vie mĂ©disant J'suis de ceux qui dĂ©rĂšglent le systĂšme H24 Qui hachent les mots d'la politesse, qui recrachent et qui emplĂątrent De cette gĂ©nĂ©ration dĂ©cidĂ©ment non clean Fan de Fight club, chemise seulement quand les billets s'alignent Au fait j'souligne l'amertume que j'ai quand j'vois mes parents Car c'sont les seuls devant lesquels j'm'aligne Écoute, j'vais pas m'confesser, car tu pourrais pas m'rĂ©pondre Autour de moi t'es juste la seule frĂ©quence qui peut capter mes ondes Veille sur mes gars, en attendant qu'je sorte Ces mĂȘmes Ruff Ryders pilotes d'R6 et RS4 Car j'supporte plus l'envers du dĂ©cor Cet effet sombre, ce bruit en fond qui m'stresse Ă  cause du savon La vie un coup d'sabre, oĂč on sent pas l'mal, on le subit Et moi devant ma fenĂȘtre j'me tais et j't'apprĂ©cie Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit Tu crois savoir comment c'est dur ici Si tu savais vraiment, ignorant, c'qu'on vit Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit L'amour nous course, sans prendre de caddie Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit [Alonzo] La plume Ă©crit, moi j'percute deux temps aprĂšs C'est un goĂ»t amer mes vers pas vrai c'est flou comme la brume La brune, lĂąche-moi les burnes, j'les ai Ă  l'envers les tunes AmĂ©liore rien car je suis lĂ©sĂ© LaissĂ© Ă  l'abandon par le courage Mais j'suis un homme il faut qu'j'me relĂšve sans bĂątons, sans hameçon Sans penser qu'autrui a la rage Donc passons, les Ăźlotages sont plus sujets premiers Donc pensons au monde qu'on va laisser aux bambins Chico, la chance veut pas lĂącher d'sourire Elle nous boude depuis l'Ă©poque de la petite souris Ici quand les dents tombent c'est que tu es conscient qui faut en avoir bon sous le lit Ma mĂšre combat mes flammes avec ses larmes Mon fils avec l'urine car c'est le seul mec qui m'pisse dessus Car c'est le seul mec qui prend le dessus Le seul qui m'calme Bonsoir la jeunesse de France, Alonzo J'ai la parole lourde et simple le malheur dans la bouche La triste rĂ©alitĂ© j'ai lĂ , j'ai lĂ  ce qui te touche La mĂ©lodie du drame, le chant d'l'Ă©poque, d'la connerie humaine Ces blocs je cane [Soprano] Comme nos mĂšres qui ne font que mouiller leurs pommettes Car la lettre vient du bled ou des Baumettes Faut que j'collecte les millimĂštres qui me mĂšnent Ă  mon maĂźtre Le seul Ă  pouvoir soigner ce mal-ĂȘtre, qu'on s'relĂšve collĂšgue Qu'on lĂšgue Ă  nos fils la vision d'un homme honnĂȘte Qu'il n'ait pas Ă  le voir du haut d'nos fenĂȘtres Se mettre Ă  semer des roses, au lieu d'chrysanthĂšmes Car sous les larmes, l'espoir est une flamme qui peut s'Ă©teindre Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit Tu crois savoir comment c'est dur ici Si tu savais vraiment, ignorant, c'qu'on vit Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit L'amour nous course, sans prendre de caddie Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la SociĂ©tĂ© des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
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A− Au propre. 1. Usuel. Qui produit une impression piquante, dĂ©sagrĂ©able sur les organes des sens. a) Qui produit une impression piquante, dĂ©sagrĂ©able sur le goĂ»t. [En parlant d'une substance : boisson, aliment, etc., le plus souvent altĂ©rĂ© (e)] BiĂšre, lait, vin aigre; devenir aigre : 1.
Paroles de la chanson Ici par Psy 4 de la Rime "Enfants de la lune" "On vient d'lĂ  oĂč y a trop d'brume" "Nos rĂȘves se brisent" "LĂ  oĂč la route est floue" "On grandi Ă  contrecƓur" "LĂ  oĂč on s'nourrit de rancune" "Bienvenue" "LĂ  oĂč l'espoir se consume" [Soprano] J'viens d'lĂ  oĂč les cafards ont des buildings LĂ  oĂč Otis pousse ma mĂšre Ă  faire du body-building LĂ  oĂč les petits n'vont plus en classe, passent leur temps Ă  rouler Et avancent avec un joint de culasse La routine comme seul passe-temps LĂ  oĂč les flics te passent les menottes Ă  chaque fois qu'tu tue l'temps LĂ  oĂč on s'serre la ceinture pour ĂȘtre bien sapĂ© LĂ  oĂč on prĂ©fĂšre ĂȘtre Ze Pequeño que BuscapĂ© LĂ  oĂč des Ronaldihno s'blessent avant d'ĂȘtre pros LĂ  oĂč la colo s'appelle mandat de dĂ©pĂŽt LĂ  oĂč l'alcool sert Ă  s'noyer LĂ  oĂč on croit qu'l'amour n'est qu'un mouvement de poignet LĂ  oĂč la guigne t'fait la bise en t'faisant les poches LĂ  oĂč pour s'enterrer nos dualitĂ©s servent de pioches Chez nous l'sourire est mal agrippĂ© Ă  nos lĂšvres Et nos virĂ©es en motos s'transforment en cortĂšge funĂšbre [Alonzo] Sueurs froides, c'est parce que les gens ont changĂ© qu'on s'parle plus Qu'on communique avec tant d'choses sauf avec la bouche Le disque, la seule langue en quoi j'pourrais vous parler Sans vice, pin-up, bien sĂ»r sans pourparlers On est la couche, qui sĂ©pare la maigreur de l'obĂ©sitĂ© Car on est entre Zola, et on sait pas ce qu'on veut Être un vaillant ici ou de l'autre cĂŽtĂ© Les titulaires de la bĂȘtise sont mis en doute Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit Tu crois savoir comment c'est dur ici Si tu savais vraiment, ignorant, c'qu'on vit Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit L'amour nous course, sans prendre de caddie Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit [Vincenzo] J'ai pourtant criĂ© tout haut, ce qu'certains pensaient tout bas Tu sais, dure est la vision de voir comme un oiseau d'en bas Dur d'planer sans l'effet d'l'herbe et l'shit Tout comme mes gars amateurs d'grosses caisses et de parties de chatte MalgrĂ© mes dĂ©fauts, j'reste celui qui dĂ©fie les dĂ©fauts de la vie J'te parle du systĂšme et de ceux qu il ennuie J'te parle des maillons faibles qui haussent le ton Avance avec le temps comme ces feuilles mortes oĂč se dirige le vent J'remercie le bon Dieu d'ĂȘtre encore vivant MalgrĂ© des coups passĂ©s chers qui allaient me coĂ»ter la vie mĂ©disant J'suis de ceux qui dĂ©rĂšglent le systĂšme H24 Qui hachent les mots d'la politesse, qui recrachent et qui emplĂątrent De cette gĂ©nĂ©ration dĂ©cidĂ©ment non clean Fan de Fight club, chemise seulement quand les billets s'alignent Au fait j'souligne l'amertume que j'ai quand j'vois mes parents Car c'sont les seuls devant lesquels j'm'aligne Écoute, j'vais pas m'confesser, car tu pourrais pas m'rĂ©pondre Autour de moi t'es juste la seule frĂ©quence qui peut capter mes ondes Veille sur mes gars, en attendant qu'je sorte Ces mĂȘmes Ruff Ryders pilotes d'R6 et RS4 Car j'supporte plus l'envers du dĂ©cor Cet effet sombre, ce bruit en fond qui m'stresse Ă  cause du savon La vie un coup d'sabre, oĂč on sent pas l'mal, on le subit Et moi devant ma fenĂȘtre j'me tais et j't'apprĂ©cie Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit Tu crois savoir comment c'est dur ici Si tu savais vraiment, ignorant, c'qu'on vit Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit L'amour nous course, sans prendre de caddie Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit [Alonzo] La plume Ă©crit, moi j'percute deux temps aprĂšs C'est un goĂ»t amer mes vers pas vrai c'est flou comme la brume La brune, lĂąche-moi les burnes, j'les ai Ă  l'envers les tunes AmĂ©liore rien car je suis lĂ©sĂ© LaissĂ© Ă  l'abandon par le courage Mais j'suis un homme il faut qu'j'me relĂšve sans bĂątons, sans hameçon Sans penser qu'autrui a la rage Donc passons, les Ăźlotages sont plus sujets premiers Donc pensons au monde qu'on va laisser aux bambins Chico, la chance veut pas lĂącher d'sourire Elle nous boude depuis l'Ă©poque de la petite souris Ici quand les dents tombent c'est que tu es conscient qui faut en avoir bon sous le lit Ma mĂšre combat mes flammes avec ses larmes Mon fils avec l'urine car c'est le seul mec qui m'pisse dessus Car c'est le seul mec qui prend le dessus Le seul qui m'calme Bonsoir la jeunesse de France, Alonzo J'ai la parole lourde et simple le malheur dans la bouche La triste rĂ©alitĂ© j'ai lĂ , j'ai lĂ  ce qui te touche La mĂ©lodie du drame, le chant d'l'Ă©poque, d'la connerie humaine Ces blocs je cane [Soprano] Comme nos mĂšres qui ne font que mouiller leurs pommettes Car la lettre vient du bled ou des Baumettes Faut que j'collecte les millimĂštres qui me mĂšnent Ă  mon maĂźtre Le seul Ă  pouvoir soigner ce mal-ĂȘtre, qu'on s'relĂšve collĂšgue Qu'on lĂšgue Ă  nos fils la vision d'un homme honnĂȘte Qu'il n'ait pas Ă  le voir du haut d'nos fenĂȘtres Se mettre Ă  semer des roses, au lieu d'chrysanthĂšmes Car sous les larmes, l'espoir est une flamme qui peut s'Ă©teindre Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit Tu crois savoir comment c'est dur ici Si tu savais vraiment, ignorant, c'qu'on vit Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit L'amour nous course, sans prendre de caddie Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit

Rienne dure Au-dessus de la ceinture Non pas sur la bouche Je sais c'est louche Puisque ma peau A l'odeur de ton odeur Au dehors il fait chaud Non pas sur les lĂšvres Jamais

Retour Ă  la liste des chansons InterprĂšte Élodie FrĂ©gĂ© AnnĂ©e 2006 Sommaire 1 Paroles 2 Dates de sortie 3 Trous DerniĂšres paroles donnĂ©es lors de la mĂȘme chanson 50 points 40 points 30 points 20 points 10 points Maestro 4 VidĂ©os Chanson KaraokĂ© Paroles LĂ©gende en gras le texte qui a Ă©tĂ© montrĂ© Ă  NOPLP en italique ce qui n'a pas Ă©tĂ© montrĂ© Ă  l'Ă©cran par NOPLP donc aucune certitude de texte entre parenthĂšses ce qu'il n'est pas obligatoire de chanter, mais fait quand mĂȘme partie du texte, comme les chƓurs ou onomatopĂ©es que le candidat a le droit de dire x2 avant un paragraphe le paragraphe doit ĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ© 2 fois x2 en fin de ligne la ligne doit ĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ©e 2 fois Non pas sur la bouche MĂȘme si c’est louche Puisque ma langue A le goĂ»t de ta vertu De ton honneur perdu Non pas sur les lĂšvres MĂȘme si j’en rĂȘve MĂȘme si je tremble Et bien que mon cƓur soit nu Mon Ăąme est revĂȘtue De pudeur et d’impudence Sans te faire offense Mieux n’vaut pas tenter sa chance Rien ne dure au-dessus de la ceinture Non pas sur la bouche MĂȘme sous la douche MĂȘme si c’est dur Je te mordrai c’est promis Tous les coups sont permis Non pas sur les lĂšvres MĂȘme pas en rĂȘve À sang pour sĂ»r Ou tu mangeras ton pain gris Mon cƓur est endurci Ne tire pas sur l’ambulance Garde la potence Plus rien n’a plus d’importance Rien ne dure au-dessus de la ceinture [Instrumental] Non pas sur la bouche Je sais je touche Le fond du lac Le temps des cerises est mort Le diable est dans le corps Non pas sur les lĂšvres Non c’est pas miĂšvre C’est pas le trac Mais je prĂ©fĂšre me donner crue Sans revers ni refus Rendons nous Ă  l’évidence Tout est cuit d’avance Mieux n'vaut pas tenter sa chance Rien ne dure au-dessus de la ceinture [Instrumental] Non pas sur la bouche Je sais c’est louche Puisque ma peau A l’odeur de ton odeur Au dehors il fait chaud Non pas sur les lĂšvres Jamais de trĂȘve Et pas d’assaut Le bonheur est dans la pente Entre le sol et le ventre Entre l’oubli et l’oubli Bel oiseau du paradis Joue plutĂŽt jeux interdits Rien ne dure au-dessus de la ceinture Dates de sortie 20 points prise Vendredi 11 mars 2016 ; 1Ăšre Ă©mission Maestro prise Mardi 31 mai 2016 ; 2Ăšme Ă©mission 20 points non prise Jeudi 8 dĂ©cembre 2016 ; 2Ăšme Ă©mission Maestro non prise Vendredi 17 novembre 2017 ; 1Ăšre Ă©mission Maestro non prise Mercredi 14 fĂ©vrier 2018 ; 1Ăšre Ă©mission Maestro non prise Lundi 19 mars 2018 ; 2Ăšme Ă©mission Maestro prise Mardi 1er mai 2018 ; 1Ăšre Ă©mission 20 points non prise Samedi 12 janvier 2019 ; 1Ăšre Ă©mission 30 points prise Samedi 15 fĂ©vrier 2020 ; 1Ăšre Ă©mission Maestro prise Jeudi 26 mars 2020 ; 1Ăšre Ă©mission 30 points prise Jeudi 11 juin 2020 ; 2Ăšme Ă©mission 40 points non prise Vendredi 11 septembre 2020 ; 2Ăšme Ă©mission 20 points non prise Mardi 27 octobre 2020 ; 2Ăšme Ă©mission - Masters Maestro non prise Lundi 21 dĂ©cembre 2020 ; 2Ăšme Ă©mission 50 points non prise Vendredi 29 janvier 2021 1Ăšre Ă©mission Maestro prise Mercredi 10 mars 2021 1Ăšre Ă©mission 30 points prise Mardi 6 juillet 2021 ; 1Ăšre Ă©mission 40 points non prise Dimanche 29 aoĂ»t 2021 ; 1Ăšre Ă©mission 20 points prise Jeudi 21 octobre 2021 ; 1Ăšre Ă©mission 40 points non prise Mercredi 22 dĂ©cembre 2021 ; 1Ăšre Ă©mission 50 points non prise Jeudi 7 avril 2022 ; 2Ăšme Ă©mission 40 points non prise Jeudi 7 juillet 2022 ; 1Ăšre Ă©mission Trous DerniĂšres paroles donnĂ©es lors de la mĂȘme chanson Ici donner les 2-3 derniĂšres lignes donnĂ©es au candidat [coupure] ici mettre les 2-3 lignes d'aprĂšs que le candidat doit chanter 50 points À renseigner 40 points À renseigner 30 points Pas sur l'ambulance 06/07/2021 20 points Coups sont permis 11/03/2016 C'est dur 21/10/2021 10 points À renseigner Maestro 31/05/2016 1 000 € Honneur perdu 2 000 € Sans te faire offense 5 000 € Douche mĂȘme si c'est dur 10 000 € Ne tire pas sur l'ambulance garde la potence 01/05/2018 1 000 € Honneur perdu 28/06/2018 1 000 € Ta vertu 2 000 € De pudeur et d’impudence 5 000 € La douche mĂȘme si c’est dur 11/10/2018 1000 € Honneur perdu 2000 € Pas tenter sa chance 10/03/2021 1 000 € Les lĂšvres 2 000 € Pas tenter sa chance 5 000 € Je te mordrais c'est promis 10 000 € Ou tu mangeras ton pain gris mon cƓur est endurci date 1 000 € À renseigner 2 000 € À renseigner 5 000 € À renseigner 10 000 € À renseigner 20 000 € À renseigner VidĂ©os Chanson KaraokĂ© MaisVice a Ă©tĂ© clair. Ses parents ne savent rien de leur relation aussi tordue puisse-t-elle ĂȘtre. Ce qui est un bon point en fait. Il faut qu'elle arrĂȘte de se mettre la rate au court bouillon pour si peu. Elle n'est rien. "Juste" la nana qui chante avec Fakir de temps en temps. Une "amie" Ă  la limite. Ok. Ca va le faire Le silence retombe dans l'habitacle et Elsa prend sur elle et

Contre le mensonge envahissant dont l’ennemi est le pĂšre, lui qui est meurtrier depuis le commencement Jean 8 44 LSG, les chrĂ©tiens conduits par le Saint-Esprit, sont appelĂ©s Ă  bĂątir leur vie sur la vĂ©ritĂ© immuable de la Parole de Dieu. Cette Parole ne cesse de nous sanctifier Jean 17 17 LSG, et ne dĂ©pend ni de nos cinq sens, ni de nos sentiments, ni encore moins de la rĂ©alitĂ© qui nous entoure, car elle vient de l’Eternel, le CrĂ©ateur de toutes choses. Cependant, dans Sa sagesse inouĂŻe, le Seigneur, au travers de l’apĂŽtre Paul, nous demande de revĂȘtir cette vĂ©ritĂ© dans un endroit prĂ©cis A nos reins, autour de notre ceinture. En effet, dans EphĂ©siens 6 14 b LSG la Bible dĂ©clare ayez Ă  vos reins la vĂ©ritĂ© pour ceinture. » Le mot Ceinture » vient du grec » Perizonnumi , qui signifie se ceindre, ou encore mettre autour du corps, envelopper, entourer, serrer, attacher. Cela signifie aussi se prĂ©parer au combat. MĂ©taphoriquement, cela consiste Ă  s’entourer, s’envelopper, serrer et attacher sur soi, la connaissance de la vĂ©ritĂ© que constitue la Parole de Dieu, pour nous permettre, et le Seigneur insiste lĂ -dessus, de faire face Ă  tout type de combat dans notre marche avec Lui. En effet, ce mot revient deux fois dans la mĂȘme phrase pour exprimer l’emphase du Seigneur Tenez donc ferme ayez perizonnumi Ă  vos reins la vĂ©ritĂ© pour ceinture perizonnumi; revĂȘtez la cuirasse de la justice ». Et nous savons aussi que la Parole de Dieu est la vĂ©ritĂ© Psaume 119 160 LSG Jean 17 17 LSG. La vĂ©ritĂ© elle, vient du grec aletheia » qui signifie La vĂ©ritĂ© appuyĂ©e sur Dieu et l’exĂ©cution de Ses desseins Ă  travers Christ, dictant les devoirs de l’homme, rejetant les superstitions des paĂŻens, les inventions des Juifs, et les opinions corrompues des faux enseignants. Mais concrĂštement, qu’est-ce que cela reprĂ©sente que d’avoir Ă  nos reins la vĂ©ritĂ© pour ceinture ? 1. Comme une ceinture chez le soldat, la vĂ©ritĂ© doit rĂ©gir notre marche avec Christ. La bonne marche du soldat dĂ©pend de la maniĂšre dont il a ceint sa ceinture, autour de sa taille. Sinon, il perdrait beaucoup de temps Ă  ranger constamment ses armes, ses vĂȘtements, etc. Nous les chrĂ©tiens, devrions aussi nous assurer que la vĂ©ritĂ© de la Parole de Dieu soit bien ancrĂ©e en nous, pas juste de maniĂšre intellectuelle, mais vĂ©ritablement insĂ©rĂ©e au plus profond de nous, au point de nous emmener Ă  Lui donner la premiĂšre place avant les faits scientifiques, avant la connaissance des hommes, avant la sagesse des hommes, et bien Ă©videmment avant la sagesse charnelle et diabolique. La vĂ©ritĂ© de Dieu doit donc primer, au-delĂ  des choses que nous pouvons voir avec nos cinq 5 sens. Au point que si nous voyons ou percevons quelque chose avec nos cinq 5 sens, mais qui ne soit conforme avec ce que Dieu dit, ou encore si une personne nous fait part de quelque chose contraire avec ce que dit la Parole de Dieu, on doit la considĂ©rer comme un mensonge. En effet dans Romains 3 4a LSG la Bible dĂ©clare Que Dieu, au contraire, soit reconnu pour vrai, et tout homme pour menteur ». Nous devons donc nous remplir de cette vĂ©ritĂ©, afin qu’elle dĂ©borde toujours de notre bouche, surtout pendant nos rapports avec les les autres. Dans ÉphĂ©siens 4 25 LSG la Bible dĂ©clare C’est pourquoi, renoncez au mensonge, et que chacun de vous parle selon la vĂ©ritĂ© Ă  son prochain; car nous sommes membres les uns des autres ». Chacun de nous doit atteindre et marcher dans la dimension oĂč l’on ne fait dĂ©sormais rien sans la Parole de Dieu. Ainsi, on lit dans 2 Thessaloniciens 2 13 LSG C’est pourquoi nous rendons continuellement grĂąces Ă  Dieu de ce qu’en recevant la Parole de Dieu, que nous vous avons fait entendre, vous l’avez reçue, non comme la parole des hommes, mais, ainsi qu’elle l’est vĂ©ritablement, comme la Parole de Dieu, qui agit en vous qui croyez ». C’est ainsi que nous pourrions expĂ©rimenter la rĂ©ussite et le succĂšs en toutes choses. Dans JosuĂ© 1 8 LSG le Seigneur Que ce livre de la loi ne s’éloigne point de ta bouche; mĂ©dite-le jour et nuit, pour agir fidĂšlement selon tout ce qui y est Ă©crit; car c’est alors que tu auras du succĂšs dans tes entreprises, c’est alors que tu rĂ©ussiras. » 2. Comme une ceinture, la vĂ©ritĂ© doit devenir la piĂšce centrale de toute chose. Dans l’armĂ©e romaine qui est la source de rĂ©fĂ©rence que l’apĂŽtre Paul utilise en parlant des armes de Dieu, les militaires portaient la ceinture autour de la taille, et ils y accrochaient leur Ă©pĂ©e, leur couteau, leur gourde, leur portion de nourriture, leurs effets personnels, etc. C’est la ceinture qui Ă©tait la piĂšce centrale de l’armure, puisqu’elle entourait tout le corps, et offrait beaucoup de places pour accrocher beaucoup de choses. Paul nous exhorte donc Ă  faire aussi de la vĂ©ritĂ© de la Parole de Dieu, la piĂšce centrale de notre marche avec Christ. Toutes les armures que le soldat transporte, tirent leur source de cette ceinture et c’est aussi le cas pour toutes les armes de Dieu. Avoir cette conscience bien ancrĂ©e en nous, nous permettra d’y recourir Ă  tout moment, comme le font les soldats. Dans Psaume 119 101-105 LSG la Bible dĂ©clare Je retiens mon pied loin de tout mauvais chemin, afin de garder Ta Parole. Je ne m’écarte pas de Tes lois, car, c’est Toi qui m’enseignes. Que Tes paroles sont douces Ă  mon palais, plus que le miel Ă  ma bouche ! Par Tes ordonnances je deviens intelligent, aussi je hais toute voie de mensonge. Ta Parole est une lampe Ă  mes pieds, et une lumiĂšre sur mon sentier. » 3. Comme une ceinture, la Parole de Dieu est ce qui nous donne la force au combat. La ceinture est la piĂšce centrale qui maintient toutes les armes en place, mais elle est aussi ce qui nous donne la force et la vigueur pour le combat. Et quand nous sommes forts dans la Parole de Dieu, tout comme le jeune David, il n’y a aucun gĂ©ant qui pourrait nous effrayer. Celui qui porte cette ceinture de vĂ©ritĂ© a donc les reins ceints », et il sera donc toujours prĂȘt pour tous types de combat Luc 12 35 LSG, car il saura que sa force rĂ©side en l’Eternel des armĂ©es, qui a dit dans JĂ©rĂ©mie 1 19 LSG Ils te feront la guerre, mais ils ne te vaincront pas; car Je suis avec toi pour te dĂ©livrer, dit l’Eternel. » C’est aussi dans la Parole de Dieu que David en son temps, puisa la force nĂ©cessaire pour vaincre Goliath. En effet, dans 1 Samuel 17 45-47 LSG David dit au Philistin Tu marches contre moi avec l’épĂ©e, la lance et le javelot; et moi, je marche contre toi au nom de l’Eternel des armĂ©es, du Dieu de l’armĂ©e d’IsraĂ«l, que tu as insultĂ©e. Aujourd’hui l’Eternel te livrera entre mes mains, je t’abattrai et je te couperai la tĂȘte; aujourd’hui, je donnerai les cadavres du camp des Philistins aux oiseaux du ciel et aux animaux de la terre. Et toute la terre saura qu’IsraĂ«l a un Dieu. Et toute cette multitude saura que ce n’est ni par l’épĂ©e ni par la lance que l’Eternel sauve. Car la victoire appartient Ă  l’Eternel. Et Il vous livre entre nos mains ». Dans Psaume 119 28 LSG la Bible nous fortifie en ces termes mon Ăąme pleure de chagrin RelĂšve-moi selon ta parole ! ». Lire aussi Actes 20 32 et Zacharie 4 6-7. 4. Comme une ceinture, nous devons protĂ©ger chaque semence de la vĂ©ritĂ©. C’est dans leurs ceintures que les militaires mettaient jadis leurs soldes, leurs provisions ainsi que leurs armes. Aujourd’hui encore, beaucoup de soldats recourent Ă  leurs ceintures pour accrocher plusieurs choses, surtout leurs armes de poing. Ils ne laisseraient donc personne leur prendre leur ceinture, car en zone de guerre, leurs vies en dĂ©pendent. Nous aussi devrions protĂ©ger et veiller sur chaque Parole de Dieu que nous recevons, comme si notre vie en dĂ©pendait, de peur que l’ennemi ne vienne nous la voler, et qu’on finisse par ne jamais porter de fruits pour la gloire de Dieu. En effet dans Marc 4 4 LSG la Bible dĂ©clare Comme il semait, une partie de la semence tomba le long du chemin les oiseaux vinrent, et la mangĂšrent ». Et le Seigneur dira dans Marc 4 13-15 LSG Il leur dit encore Vous ne comprenez pas cette parabole ? Comment donc comprendrez-vous toutes les paraboles ? Le semeur sĂšme la parole. Les uns sont le long du chemin, oĂč la parole est semĂ©e; quand ils l’ont entendue, aussitĂŽt Satan vient et enlĂšve la parole qui a Ă©tĂ© semĂ©e en eux ». Le Roi David a pu dire dans Psaume 119 11 LSG Je serre Ta parole dans mon cƓur, Afin de ne pas pĂ©cher contre Toi ». VoilĂ  qui nous permettra de ne pas chanceler Psaume 37 31 LSG. 5. Comme la ceinture, la Parole de Dieu doit constamment nous sanctifier. Le soldat se rĂ©jouit de retrouver et de porter sa ceinture, remplie de toutes ses armes et de ses multiples trĂ©sors de dĂ©fense ou d’attaque. Car sans elle, il sent diminuĂ© et faible. Sa ceinture lui redonne en fait une confiance inouĂŻe dans ses capacitĂ©s, au point de le mettre bien Ă  part, dans la liste des combattants qui remplissent toutes les conditions. Nous aussi devrions constamment porter la ceinture de la vĂ©ritĂ© autour de nous, afin qu’elle ne cesse de nous sanctifier, de nous purifier, de nous emmener Ă  vivre une vie qui glorifie Dieu, en tout temps. En effet, dans Jean 17 17 LSG la Bible dĂ©clare Sanctifie-les par Ta vĂ©ritĂ© Ta parole est la vĂ©ritĂ© ». Et Ă  force de nous sanctifier, la vĂ©ritĂ© de la Parole de Dieu que nous aurions revĂȘtue comme ceinture, ne cessera de nous transformer en la mĂȘme image que Christ, en plus de nous faire porter beaucoup de fruits. Dans Jean 18 37 LSG la Bible dĂ©clare Quiconque est de la vĂ©ritĂ© Ă©coute ma voix ». En rĂ©alitĂ©, cette vĂ©ritĂ© dont chaque enfant de Dieu doit se ceindre, c’est le Seigneur JĂ©sus-Christ mĂȘme, Lui qui est le chemin, la vĂ©ritĂ© et la vie Ă©ternelle Jean 14 6 ; 2 TimothĂ©e 4 3 ; 1 Pierre 2 1. C’est Lui qui rĂ©git notre marche, qui est la pierre angulaire de notre Ă©difice, qui nous donne la force, lui que nous devrions aimer plus que tout, car Il est celui qui nous sanctifie. Il doit devenir notre prioritĂ©, car en Lui, nous avons tout pleinement, car Il est le chef de toute domination et autoritĂ© Colossiens LSG. Avoir Christ autour de nos reins, nous octroie l’assurance et la capacitĂ© de combattre dans la victoire et non plus, pour la victoire. Aussi, l’ApĂŽtre Jean a dit dans 3 Jean 1 4 LSG Je n’ai pas de plus grande joie que d’apprendre que mes enfants marchent dans la vĂ©ritĂ© ». Comme l’ApĂŽtre Jean, je dis Ă  chacun de mes frĂšres et sƓurs dans le Seigneur À cause de la vĂ©ritĂ© qui demeure en nous, et qui sera avec nous pour l’éternitĂ© que la grĂące, la misĂ©ricorde et la paix soient avec vous de la part de Dieu le PĂšre et de la part de JĂ©sus-Christ, le Fils du PĂšre, dans la vĂ©ritĂ© et la charitĂ© ! ».

wLQd.
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